1. Le fils de famille


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fh, BDSM / Fétichisme intermast, Oral pénétratio,

    ... gainé de nylon, doucement, en le flattant d’abord, le logeant au creux de la plante, pour mieux apprécier sa taille Hum… c’est chaud, c’est doux… et ça reprend du volume sous la chaleur de mon pied. Décidément, quelle bite ! Sans que je bouge, l’engin vient de lui-même se frotter contre moi, le gland cherchant un chemin vers mes orteils vernis très caressants mon talon, les couilles attirées par mon talon … J’aime ces sensations, la chaleur du membre à travers le nylon si fin, les poils qui me chatouillent la plante des pieds, la queue gonflée, plaquée sur la chemise du garçon et qui cherche à me repousser pour pointer vers le ciel… Je déguste, la langue pointant entre les lèvres tandis que mes doigts s’activent d’abord au-dessus de mon string de dentelle, pour exciter mon bouton d’amour jusqu’à ce qu’il soit proéminent, bandé et dur, puis en dessous, tout autour, sans y toucher, faisant des cercles dans ma courte toison … Je suis une experte dans l’art de me donner du plaisir et là, je dois dire que je perds complètement la tête ! J’accentue la pression de mon pied sur le gros sexe de Thomas tout en accélérant les gestes de ma main. Le plaisir monte et je lâche un gémissement sonore… — Heu, qu’est-ce qui…Thomas est en train de refaire surface. Il ouvre les yeux et sa tête, qui reposait sur sa poitrine se redresse. « Mais, qu’est ce qui se passe ?…. » Il réalise brutalement la situation : lui, le sexe à l’air, bandant comme un âne sous mon pied gainé, moi les cuisses ...
    ... ouvertes, jupe relevée, la main dans ma culotte ! Les yeux lui sortent presque de la tête.— « Allons, Thomas, reste calme, nous sommes juste entre adultes, en train de nous donner du plaisir. Tu aimes çà, non ? Et puis, si tu avais peur des filles, je peux t’aider ! Avec ce que tu as entre les cuisses, ce sont plutôt elles qui devraient avoir peur, enfin pour les pucelles ! Tu as une bite comme j’en ai peu vu. » Sous mon pied resté en place, je sens que le mot « bite » la fait gonfler encore…— « Oui, tu as une belle grosse bite, une queue énorme…Ca te plait que je l’appelle comme çà : mandrin, dard, queue, biroute…Elle est vraiment belle, tu sais, et pas ordinaire ! Beaucoup de types qui se disent des « tombeurs » n’en ont pas une aussi grosse ! Tu verras, quand ces petites coquines y auront gouté, elles voudront toutes te la sucer et que tu leur mettes par tous les trous ! Hum, comme tu bandes. Tu aimes que je te caresse ta grosse bite avec mon pied ? Dis moi, allez, lâche-toi, il faut que tu t’exprimes. Alors, tu aimes çà, hein, mon beau bandeur ?— euh…oui Madame….— Oui Madame ? tu l’as bien vu la « dame » ? les cuisses ouvertes, toute mouillée, en train de se caresser ? la salope plutôt… Allez redis-moi « Oui ma salope »… allez…— Euh, oui, euh non…Je n’ose pas… ma sal… je ne peux pas, Madame.— Tant pis, restons-en à Madame…maintenant tais-toi et montre moi comment tu te branles. Secoue ta grosse bite, masturbes toi fort, prends en plein tes mains, allez, exécution ! Enivrée par ...
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