1. Femme BCBG, escorte, non, pute… (94)


    Datte: 16/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... la pâte. • Je vais la cuire comme cela sa nous fera un souvenir pour nos vieux jours. • Oui, je mettrai cette miche en boutique sur la planche du haut afin d’augmenter encore nos gains. Tous deux ont éclaté de rire, je me suis reculé jusqu’à la porte et fais assez de bruit pour qu’ils sachent que j’étais arrivée. • C’est dans cette période qu’en suivant mes copines en boîte, j’ai fait la connaissance d’un garçon camerounais qui était en dernière année de droit et qui souhaitait retourner dans son pays dès l’année suivante. Comme tu la compris la vision de cette chatte noire à l’intérieur rose m’avait subjugué et la carrure de cet homme aurait pu me faire craquer. Pour les femmes de ma génération nous avions encore le culte du mariage pour perdre notre virginité. Virginité, mariage départ pour le Cameroun, m’a créé un moment de doute. C’est huit jours plus tard que j’ai rencontré Guy qui travaillait à madame Bricolage au rayon peinture. Je vivais avec ma maman veuve depuis deux ans. J’avais décidé de repeindre ma chambre, Guy a très vite compris que j’étais novice dans l’utilisation des pinceaux et autres matériels. Il m’a proposé de venir me refaire la pièce. Le dimanche suivant il est arrivé avec la peinture et son pinceau pour attaquer le chantier. Nous avons travaillé jusqu’à quinze heures environ et je suis incapable de te dire comment je me suis retrouvée avec son pinceau au fond de la chatte. Il savait si bien le manier que dès notre première baise malgré la légère ...
    ... douleur ressentie j’ai joui. Aux oubliettes la virginité jusqu’au mariage. Chaque dimanche les temps passés à avancer les travaux étaient de plus en plus courts. Il m’a tout appris, la sucette, la sodomie, la branlette entre mains saines, la masturbation de son sexe avec mes pieds. J’acceptais tout entre nous, tout était bon, tout ce qu’il voulait je le voulais. J’étais devenue accro de son sexe, non mieux, j’étais une accro du sexe. Ma mère sage-femme était absente trois dimanches sur quatre. À la manière dont elle regardait la pièce, elle semblait étonnée sans le dire du peu d’avancement des travaux. Comme moi n’y connaissant rien tout était bon dans nos explications pour la tromper, l’outil qui manquait revenait souvent et comme madame Bricolage était fermée, nous étions bloqués. Guy avait beau pratiquer le coït interrompu, mais ses coups de pinceau ont débouché sur mon ventre qui s’est arrondi. Je reverrai toujours l’engueulade que cet homme bâtit comme un bûcheron s’est pris lorsque nous lui avons appris mon état. J’ai cru un moment qu’elle allait le frapper. Quand elle a parlé d’un mariage rapide pour éviter les ragots des voisins, à aucun moment il ne s’est dérobé. Le pouvait-il d’ailleurs vu la pression que ma mère lui a mise ? Le temps de publier les bans et c’était fait, je me suis retrouvé avec la bague à mon doigt. Fini pour moi l’idée de voyage au Cameroun. Neuf mois plus tard, ma mère m’accouchait de sa petite fille car elle était la sage femme de service à la ...