1. Initiation classique mais réussie


    Datte: 17/11/2018, Catégories: hh, volupté, Oral hdanus, hsodo,

    Assis depuis des heures dans ce bar, j’ai refusé poliment toutes les avances qui m’ont déjà été faites. Trop gros, trop rentre-dedans, trop expansif, trop l’air stupide, trop typé, trop poilu … aucun de ces hommes n’a trouvé grâce à mes yeux. Ils ont tenté leur chance, se doutant bien que je ne m’étais pas attablé, seul, dans ce bar précis, à cette heure de la nuit, juste pour boire un verre. Aucun n’a insisté pourtant après mon refus. — Je peux m’asseoir ? En voilà un de plus ; je lève la tête, j’ouvre la bouche mécaniquement pour exprimer un refus, mais je la referme vite. Pourquoi pas celui là, finalement ? Il est beau, l’air doux, sans beaucoup de virilité en fait mais sans être efféminé non plus. Il est habillé très classiquement en jeans et chemise. Bref, aucun signe extérieur de son "choix". Il a prononcé sa phrase un peu timidement, et pourtant ses yeux reflètent une certaine confiance en lui. Il n’a pas peur. Lui… — Si tu veux. Je tremble un peu, intérieurement. Un cap est passé… Il s’assoit, me regarde un peu, ne dit rien, sirote sa bière. Je le regarde aussi, je ne sais pas quoi dire. J’essaie de lui faire comprendre du regard que je me repose sur lui … — Ce n’est pas facile, hein ? dit-il doucement— Non. Comment le sais-tu ?— Je pense que chacun dans ce bar sait ça … même si beaucoup l’ont oublié et affecteraient sans doute de te mépriser… Tu veux que je te raconte, pour moi ? Je le laisse faire. Il me raconte sa vie, et peu à peu la conversation s’anime. Il me ...
    ... met à l’aise et nous discutons bientôt comme de vieux amis de notre vie, de nos loisirs, du travail. La soirée passe, le bar se vide. À la fermeture il y a un léger flottement, à nouveau il prend la direction des opérations. — Tu sais, ne te sens obligé à rien.— Merci. Mais j’aimerais bien aller chez toi. Chez moi, ce serait plus difficile…— OK. N’oublie pas, le plus important c’est que ce soit ton choix. Nous marchons un peu, en silence. Le petit ascenseur parisien nous oblige à nous serrer, premier contact physique. Il bande, et se rend compte que je m’en rends compte ce qui provoque un petit rire. je souris aussi : — C’est flatteur, finalement. Nous voilà dans son salon, sur le canapé. Il me caresse un peu la cuisse, passe sa main sous ma chemise. Je ferme les yeux et laisse faire. Mais quand il approche sa bouche je détourne la tête… "Non !". Il ne se formalise pas, et reprends ses caresses bientôt plus localisées. Je bande à mon tour. Il est doux et précautionneux, j’ai confiance. Ma chemise est complètement ouverte, il s’attaque à mon jean et vite prend en main mon sexe. C’est la première fois qu’un homme me tient ainsi, je sors de mon mutisme pour le lui dire. — Je sais, répond-il en me regardant dans les yeux tout en me tenant fermement. J’ose enfin sortir de mon immobilisme et lui caresse timidement la joue. Je vois que ça lui fait plaisir et nous nous sourions. Il me branle doucement tandis qu’à mon tour je déboutonne sa chemise, pour laisser apparaître un torse ...
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