1. Sonia réalise son fantasme à l'Armada du siècle


    Datte: 18/11/2018, Catégories: fh, inconnu, uniforme, grossexe, bateau, Oral pénétratio, fdanus, totalsexe,

    Je me présente : je m’appelle Sonia. Je suis le fruit du métissage des genres : mon père étant Kabyle, j’ai hérité de lui son teint hâlé et son regard aux multiples reflets, alors que de ma mère j’ai obtenu sa longue crinière blonde avec de jolis reflets roux. De silhouette sportive grâce aux bienfaits cumulés de la course à pied et du fitness que je pratique à haute dose depuis de nombreuses années, on dit de moi que je suis une jolie jeune femme, le 90C de ma poitrine ne devant pas y être étranger. Dans la vie, je suis épicurienne ; je ne rate jamais une occasion de me faire plaisir : voyages et découverte du monde sont des leitmotivs. J’avais 23 ans lorsque l’histoire que je vais vous raconter est arrivée. Nous sommes en 1999 ; Rouen est en ébullition. En effet, du 9 au 18 juillet aura lieu l’Armada du siècle ; de magnifiques navires venant des quatre coins de la planète seront amarrés au port, la musique envahira les rues, les beaux matelots étrenneront leur beaux habits pour déambuler dans les rues jusqu’au jour du grand départ. Comme bon nombre de femmes, je fantasme sur les hommes en uniforme, et plus précisément sur les marins ; à l’idée de faire l’amour avec un beau jeune homme dans un endroit aussi exigu que sa cabine-couchette, je fonds. Le 14 juillet, il fait beau. Il est 18 heures. Je déambule dans les rues de notre charmante cité et, comme prévu, badauds et marins se croisent sur le port. J’entre dans un pub plein à craquer, me faufile jusqu’au zinc et ...
    ... commande un vin blanc. De dos à la salle, j’observe ce qui s’y passe dans le grand miroir décorant l’arrière du bar. Mon regard balaie la foule, croise des coups d’œil furtifs qui me détaillent avec intérêt. Alors que je finis mon verre, je me sens observée. Une sensation bizarre, mais pourtant le reflet du miroir ne me donne aucun indice sur ce qui pourrait en être à l’origine. Tournant la tête au-dessus de mon épaule gauche, j’aperçois un groupe de jeunes marins attablés à quelques mètres de moi ; ils me regardent avec insistance. Ils sont hilares. Je crois reconnaître des mots en italien ; je leurs souris. Prenant cela comme un signal positif, ils poussent un de leurs camarades vers moi. — Bonjour, Mademoiselle, me dit-il avec son accent italien ; voulez-vous venir boire un verre à notre table ?— D’accord, lui réponds-je avec mon plus beau sourire. Je le suis. Ses acolytes me font une petite place ; ils commandent une nouvelle tournée de boissons et m’expliquent qu’ils font partie duPalinuro, un très beau trois-mâts qui sert de navire école où ils sont en apprentissage. Ils sont une centaine à bord, avec une vingtaine de femmes parmi eux. Ils m’apprennent qu’ils ont passé les trois derniers mois en mer et qu’ils profitent à plein de cette escale bienvenue. Sergio – celui qui a été désigné par les autres pour venir me chercher – me dévore littéralement des yeux, un grand sourire aux lèvres. Même si je ne comprends pas tout, il me semble que les autres le charrient gentiment. Une ...
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