1. Le don de soi-même


    Datte: 18/11/2018, Catégories: fh, inconnu, hotel, volupté, hsoumis, fdomine, Oral attache, tutu,

    ... regard s’est porté sous la table. — Je t’avais prévenu, et tu bandes encore ! Cette fois c’est trop ! Puisque tu tiens à bander, je vais t’en donner l’occasion.— Tu te diriges vers le tiroir où tu avais pris le foulard et en sors un lacet épais. Avec une grande dextérité tu te saisis de ses couilles et fais un premier nœud bien serré à leur base, de la longueur restante un deuxième nœud bien serré à la base de son pénis. — Comme ça, tu sauras pourquoi tu bandes ! Tu reprends place sur ta chaise face au plat de résistance. Tu écartes de nouveau tes cuisses et avances tes fesses sur la chaise. — Lèche, et surtout n’oublie pas ma petite rondelle plissée ! Ton soumis se remet à l’œuvre, faisant aller sa langue de ton anus palpitant à ton petit bouton. Un long frisson anime soudain ton corps, l’orgasme est proche, tu le sais, mais tu te laisses aller, pensant que ce sera le premier d’un longue série, mais celui-ci te ravage littéralement et te fait perdre le contrôle de tous tes sens, t’emportant soudain vers le septième ciel. Sans que tu t’en aperçoives ton sexe laisse échapper quelques gouttes d’urine chaude. Surpris, ton soumis a un mouvement de recul. Tu te saisis de sa tête par les cheveux. — Non ! Si tu es mon serviteur, mon esclave, tu dois tout accepter de moi… Et tu plaques son visage contre ton entrecuisse d’ou émanent maintenant les odeurs de ton plaisir, dont les effluves remontent jusqu’à toi. Vite un verre de champagne, pour essayer de ne pas chavirer trop vite ! ...
    ... Sous la table l’esclave docile a repris son léchage un moment interrompu, l’étreinte de tes mains dans ses cheveux se relâche. Avec délectation, tu passes enfin au dessert, l’emprise du plaisir se fait maintenant moins forte et tu retrouves doucement tous tes moyens…. Tu termines calmement et tu te lèves. — Ne bouge pas ! De nouveau tu prends le chemin du tiroir et en extrais 4 pinces à linge. Tu retournes vers ton soumis que tu fais allonger sur le dos. Tu places deux pinces sur ses tétons érigés, en les pinçant plus que de raison, juste vengeance d’une femme dont les seins ont été trop malmenés, penses-tu. Ton soumis grimace. — Ce n’est que le début ! Tu te diriges maintenant vers son organe tendu et tuméfié, presque violacé par l’érection forcée. Tu te saisis de ses couilles et fixes à chacune les deux pinces restantes. — Remets-toi à quatre pattes… Il s’exécute. Le balancement des pinces provoque de douces brûlures…Et c’est ainsi harnaché qu’il est tiré par sa laisse jusqu’à ta chambre. Là le lit, déjà équipé de cordes, est prêt à l’accueillir. Tu le fais s’allonger sur le dos, toujours tenu en laisse. Il t’obéit très docilement. Tu lui attaches les deux poignets au montant du lit, et tu lies les chevilles aux pieds de ce dernier. Tu regardes un instant son sexe érigé et dur comme un roc, tu sais déjà que tu vas prendre du plaisir, et ce aussi longtemps que tu le voudras. Soudain une idée te vient à l’esprit, tu glisses deux coussins sous ses reins, maintenant les jambes ...