Jasmine : princesse et salope (12)
Datte: 18/11/2018,
Catégories:
Lesbienne
... servait d’elle comme un vide-couille. Jasmine ne prononça aucun mot, se contentant d’obéir à son maitre sans demander pourquoi il la traitait ainsi. Le Génie la baisa et l’encula plusieurs fois dans l’après-midi et testa sur elle les tenues et les accessoire qu’il venait d’acheter. Plusieurs tenues, très révélatrices allaient servir, l’espérait-il, à augmenter les revenus des journées de travail de Jasmine, notamment à la taverne ou sur le marché. Les accessoires, eux, allaient servir à humilier Jasmine ou à tester son obéissance. Il y avait de quoi la fouetter, l’attacher, la promener en laisse, etc. Il y avait également une sorte de poignée métallique en forme d’ogive que l’on enfonçait dans un orifice et qui se terminait en queue bien touffue. Le génie testa immédiatement cet objet en l’enfonçant dans le cul de Jasmine, lui fournissant ainsi la queue de chienne qui manquait à sa posture du jour. Lorsqu’il sortait de l’un de ses orifices en ayant jouit, peu importe lequel, il exigeait d’elle qu’elle le nettoie. Elle devait ainsi lui lécher la bite, les couilles et parfois même le cul tout au long de l’après-midi, au grès des envies du Génie. Il la fit jouir également de nombreuse fois, la doigtant vigoureusement jusqu’à l’orgasme, la laissant ensuite s’endormir dans la sueur, la mouille et le foutre qui s’accumulait sur elle. Elle n’eut pas le droit de se rendre aux toilettes, devant uriner sous les yeux du génie dans une boite de sable à côté de son coussin. Elle eut ...
... droit à une exception pour la « grosse commission » et ce fut alors le seul moment d’intimité et d’humanité de Jasmine ce jour-là. Le soir arrivé, elle fût à nouveau baisée, enculée, maculée ou remplie de foutre mais eut droit, en retour, à de nombreux et savoureux orgasmes. Elle dormit dans la chambre de son maître mais au sol, au pied du lit. Le lendemain, le Génie souhaita poursuive l’expérience et décida de ne pas l’envoyer à l’école. Elle resta donc une nouvelle journée dans ce rôle de chienne durant laquelle le Génie se soulagea à sa guise. Pour le midi, alors que Jasmine commençait à avoir faim car elle n’avait rien mangé depuis la veille, le Génie voulu la récompenser et sortit pour se procurer son plat favori. Il se rendit à l’APJ et lorsqu’il en revint, il offrit à son esclave une assiette creuse remplie de foutre frais. Jasmine la lapât comme un chat aurait lapé du lait : avec gourmandise et précipitation. Pendant qu’elle se nourrissait, le cul tendu, le Génie s’amusait à la doigter, à jouer avec son cul, et à lui faire gouter ses doigts assaisonnés par ses propres fluides corporels. zkhhsi Lorsque le soleil se couchait à nouveau sur Agrabah, cela faisait presque deux jours que Jasmine n’était pas sortie et elle était alors dans un état avilissant. Elle était maculée de sperme plus ou moins frais, sentait la sueur, le foutre et la pisse, avait les cheveux et le visage englués… Mais elle semblait néanmoins heureuse, satisfaite et surtout toujours aussi soumise, sans la ...