1. NCIS Règle n° 1 (6)


    Datte: 18/11/2018, Catégories: Divers,

    ... mauvaise de l’avoir trouvée en train de faire une gâterie à mon fumier de frère. La mine penaude, ma blondinette s’approche ; sa poitrine bien pleine roule librement à chaque pas, projetant ses tétons turgescents qui démontrent clairement son excitation. Tout d’un coup j’ai chaud, ma bite menace d’exploser le tissu de mon pantalon. ivyizzbe — Alicia, je ne peux pas te laisser cinq minutes, il faut que tu fasses une connerie. — Hein ? C’est elle, Alicia ? Ta collègue ? rugit Noël. Tu me l’avais décrite comme un vieux pot à tabac ! Pour le coup, je veux bien m’en rouler une et la fumer ! Elle me regarde d’un air suspicieux puis éclate de rire quand elle comprend que j’essayais d’éloigner mon frère de ses jupons. Puis elle se hausse sur la pointe des pieds et m’embrasse sur la bouche, dardant sa langue entre mes lèvres. Comment résister ? Je réponds à sa demande et nous entamons un échange de salive fort jouissif. Mes mains glissent comme par magie sous sa jupe, caressent son joli cul nu. La coquine n’a même pas de string, ouais ! Mes doigts rencontrent entre ses fesses une protubérance suspecte. Surpris, j’interromps notre baiser pourtant torride pour interroger cette petite dépravée dont les prunelles brillent de malice. — C’est ce que je pense ? — Je crois que oui. Pour me faire pardonner, je voulais te donner mon petit trou. Mais comme tu es monté comme un baudet, j’ai préféré me préparer et porter un plug anal. Je n’ai pas envie de finir estropiée au point de porter des ...
    ... couches. — Tu es bien dévergondée ; mais tu me plais comme ça. — Hé, vous deux, ça vous dérange pas si j’existe ? Je dormais tranquillement, je me réveille en plein rêve érotique avec une blonde qui me pompe le dard comme une affamée, et là elle me laisse avec une gaule d’enfer : c’est pas sympa de pas finir le travail ! ALICIA Putain, son frère est une vraie plaie ! Rory scrute mon visage pour essayer de percer mes sentiments. J’hésite, en pleine confusion. Je ne veux pas non plus en rajouter en expliquant que j’ai a-do-ré sucer le sucre d’orge géant de son frère ; je sens qu’il vaut mieux faire profil bas. Je hausse les épaules et opine du chef. — Quand je suis entrée, il dormait comme un petit loir, le Dom Juan. J’ai cru que c’était toi, bien sûr, et j’ai déballé sa marchandise – du très beau matériel, soit dit en passant – et je lui ai fait une gorge profonde façon Washington Post du temps de Nixon. Tu es arrivé avant que je le… — Je confirme. Vous n’allez pas me laisser avec ça ! rétorque Noël en montrant son mât de misaine. Merde, c’est vrai que son bazooka ne risque pas de rentrer dans son étui, il ne débande même pas d’un pouce ! Apitoyée, je tente d’amadouer Rory en battant des cils à la manière de Betty Boop. Il pousse un gros soupir, fataliste. — Tu es prête à te sacrifier pour lui éviter d’avoir à se palucher ? — Ben, c’est pas un gros sacrifice non plus, tu sais. Et puis c’est un peu ma faute s’il est dans cet état. — Ouais, frangin, rappelle-toi que je roupillais, ...