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Louise
Datte: 21/06/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... déshabille. Elle utilise le papier de notre essuie-mains pour se sécher tant bien que mal les cheveux en les lissant. Prestement, elle ôte sa veste et déboutonne son chemisier trempé. Posés sur le chauffage électrique poussé au maximum ses vêtements dégagent une odeur suave, mélange de parfum et de pluie. Le soutien gorge blanc qu’elle porte est enlevé lui aussi et je vois ses mains glisser dans son cou, le long de ses bras, sur ses seins pour sécher sa peau nacrée. Pris d’une belle érection je me contiens et préfère retourner à l’accueil où je l’attends fébrile. Il y a belle lurette que je n’ai pas vu une aussi jolie femme. Mes dernières conquêtes sont réduites à quelques histoires sans lendemain avec des quadragénaires trouvées sur un site de rencontre. Plutôt pas mal de ma personne je ne me lance pourtant pas dans des tentatives de séduire des jeunes femmes qui pourraient être ma fille. Je sais que certaines aiment bien mes tempes grisonnantes et le côté viril de mes rides... J’ai d’ailleurs dû quitter une de mes ex au bout d’un certain temps car sa fille commençait à me faire des avances de plus en plus explicites. La jalouse ne l’a pas supporté et m’a mis à la porte... J’y pense... je vais peut-être reprendre contact avec sa fille finalement... j’en étais là de mes pensées quand Louise réapparut. Vêtue de son chemisier froissé mais un peu plus sec, elle ne portait rien d’autre qu’une culotte sombre en dessous. Pas gênée elle me demanda si sa tenue me dérangeait et si ce ...
... n’était pas le cas elle pouvait commencer notre entretien tout de suite. Ma gaule reprit aussi sec et j’eu beaucoup de mal à lui indiquer d’un geste le fauteuil en face de mon bureau. Mon trouble était tellement visible qu’elle me sourit et me rassura en me disant qu’elle me trouvait charmant aussi. Je pouvais difficilement décrocher mes yeux de ses seins que je voyais poindre sous le fin tissu et quand j’y arrivais c’était pour me perdre à la vue de ses longues jambes fuselées. Il me fallut quelques minutes pour lui expliquer le contrat que nous allions conclure et quand vint le moment de la signature elle se leva et penchée sur le bureau m’invita du regard à aller plus loin. Je me levais à mon tour et au lieu d’une poignée de main classique en guise de conclusion de notre accord je posais sur ses lèvres un baiser qu’elle ne refusa pas. Ses lèvres étaient chaudes, sa langue et la mienne entamèrent une sarabande, s’aspiraient, nos dents mordillaient, nos lèvres aspiraient. Je fis le tour de mon bureau et planté devant elle la saisit par la nuque d’une main quand l’autre la plaquait contre mon bassin. Elle ne pouvait plus ignorer l’effet qu’elle me faisait. Louise d’une main agile fit sauter ma ceinture, trouva les boutons de mon pantalon et plongeant sous mon boxer extirpa mon sexe tendu de désir. Je la pris par la taille, la posais sur le bureau et d’un coup la pénétrais jusqu’à la garde en écartant sa culotte de dentelle. Surprise de ma vigueur elle étouffa un petit cri qui ...