1. Chron'X (3)


    Datte: 18/11/2018, Catégories: Hétéro

    ... sa quête originelle. — Beh comment dire … Il y a pas que les filles qui m’intéressent maintenant. — Je le sentais. Lança Deuce comme une phrase d’accroche pour espérer qu’elle descendrait sous la table à l’instant où il finirait sa phrase. — Désolé mais je fais pas de zoophilie. — Je l’aime bien. Répondit Zachary avec un grand sourire sur le visage." Je me levas et tiras Deborah par le bras. Vers l’extérieur du bar. Je bouillais intérieurement. Je n’en pouvais plus, j’avais envie d’exploser, la gifler, l’insulter. Mais je ne faisait rien je me retenais, une larme de colère coulait le long de ma joue comme une preuve que j’étais encore apte à avoir des émotions. Une fois arrivé dehors après avoir joué des coudes pour sortir je laissa toute cette colère sortir sans ménagement. Je me mis à hurler sans arrêt, je devais avoir l’air d’un illuminé devant tous les gens autour, cette discussion ne semblait tourner sur rien. C’était le moi de l’époque qui se laissait aller il lui hurlait tout ce qu’il a toujours pensé, qu’elle n’était qu’une conne qui ne savait pas ce qu’elle voulait, qu’elle l’as toujours traité comme un jouet et quand il as finalement pris un peu de courage et qu’il croyait avoir trouvé l’amour et l’avait trahis. "Je n’ai rien voulu de tout ça, je te jure. J’étais perdue à l’époque. Je ne voulais pas te faire souffrir mais, tu … Je … on … Je sais pas quoi dire. Je n’ai jamais voulu te blesser, je ne savait pas que tu ressentais des choses comme ça pour moi. — Je ne ...
    ... ressens plus rien … Si de la colère, beaucoup, je ne peux pas." Je reçus une claque que je devais avoir bien mérité, puis tout d’un coup venant de nulle part un baiser, suivi d’un autre, puis d’un autre. C’était comme si nous n’étions qu’un. On rentra beaucoup plus discrètement chez moi à vingt minutes à pied on en profitait pour parler plus calmement. "Je sais que c’était pas ta faute si tu aimais une fille. Je veux dire ça se prévoit pas. — à vrai dire. Moi et cette fille, on se connaissait depuis la primaire, je n’avais jamais pensé à elle comme ça avant de t’en parler. Donc je crois qu’on peut dire que c’est une peine d’amitié gagné." Une fois arrivé chez moi on s’embrassait encore une fois, un regard complice et un sourire, on était de retour à nos seize ans. Je lui enlevais ses vêtements, elle se retrouvait là, ses long cheveux corbeaux cachant sa poitrine et ses mains cachant ses parties intimes. Je n’en revenais pas, Intérieurement je faisait un check avec mon moi plus jeune. Debby se décidas enfin à bouger et me poussait sur le canapé. Elle se posas sur ses genoux, approchas sa tête de mon entrejambe, Laissant un doux baiser sur la fermeture éclair de mon jean avant de défaire le bouton puis elle ouvris ma braguette avec ses dents. Si elle arrivait à ça avec uniquement les dents de quoi sa bouche aurait-elle pu être capable. Je la voyais là à genoux nue devant moi ses yeux bleus une énième fois m’hypnotisant. Ses magnifiques yeux bleus qui captent mon regard alors ...