Lutte acharnée contre Maitresse Christine
Datte: 18/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... dépassé le stade de simples partenaires sexuels : elle était désormais réellement ma maitresse, je savais qu'elle ne voulait pas mon mal et à ce moment précis, je savais que je lui serais dévoué à jamais. Nous nous installâmes donc sur le tapis et commençâmes le combat. Au départ j'avais le dessus, une simple clé de bras me permit de la maîtriser sans trop de difficulté, mais la lutte ne faisait que commencer. Je la maintenais avec un bras dans le dos, essayant d'attraper la corde pour l'attacher quand elle effectua une combinaison de mouvements qui m'échappe aujourd'hui encore, toujours est-il que je me retrouvai face contre terre, son imposante poitrine appuyée sur mon dos et ses mains maintenant mes bras étalés au sol par les poignets. Je parvins à me débattre et la lutte dura ainsi un long moment, du moins, un moment qui me parut extrêmement long, mais également jouissif. Lorsque la fatigue me gagna brutalement comme une maladie soudaine, je compris mon erreur : j'avais tenté de prendre le dessus dès le début, épuisant toutes mes forces, tandis que mon adversaire s'économisait depuis le début. Elle jouait avec moi mais en réalité c'est elle qui avait le contrôle des choses, et ce depuis le début du combat. Lorsque le jeu commença à l'ennuyer, elle saisit une corde et m'attacha les bras derrière le dos avec une habileté stupéfiante, l'expérience transpirait de ses doigts qu'on aurait crû ensorcelés. ...
... Elle me retourna et se leva, posant un pied sur mon torse : j'étais vaincu, transpirant et même en y mettant toute l'énergie dont je disposais, je n'avais pas pu parvenir à la maitriser. Chacun occupait donc sa place, l'ordre des choses était respecté. J'avais cependant réussi à la fatiguer. Elle haletait, dans un magnifique mouvement de poitrine. La sueur luisant sur sa sublime peau d'ébène. Mon orgueil me rendait fier d'avoir réussi à fatiguer ne serai-ce qu'un peu la divine figure, mais mon esprit me rappelait que j'allais sûrement le payer très cher. Mon esprit ne se trompait pas. La séance d'après fût rude et je compris que la seule chose que j'avais gagné dans ce combat, était le droit d'être puni avec une sévérité exemplaire pour avoir tenté de nuire à ma maitresse. Enfin... j'avais aussi gagné quelque chose d'autre, d'immatériel mais possédant bien plus de valeur que n'importe quel bien physique : j'avais gagné le droit de jouir d'une relation particulière avec ma maitresse qui me donna à partir de ce jour bien du plaisir. Désormais, toute pensée de rébellion est tuée dans l’œuf, et jamais je n'oserais avoir la vanité de tenter quoi que ce soit pour prendre le dessus sur Christine. Je suis son esclave dévoué, et ce qu'elle ordonne je l'exécute. Les choses me vont bien mieux ainsi, je sais que Christine est faite du bois dont on fait les Maître, et que je suis fait du bois dont on fait les esclaves.