1. La déchéance d'une étudiante...


    Datte: 19/11/2018, Catégories: Anal Hardcore,

    ... me concentrais alors sur mes sensations : une brûlure intense se faisait sentir au niveau de mon anus. Je voulais me défendre en y ramenant mes mains mais je compris qu’elles étaient immobilisées. Prise de panique, je tentais de me libérer avant de me rendre à l’évidence : j’étais maintenue par des liens.- Eh, on se réveille la belle… tu fais bien, c’est le meilleur moment… tu es toute serrée… je n’ai pas voulu te prendre par la chatte, je laisserai Monsieur Charles le faire pour moi…Je voulu me débattre et crier mais ma bouche était obstruée par un bâillon de tissu.- Inutile de te défendre, tu m’as provoqué, avec ta robe et tes escarpins de putain. Tu as des seins superbes ! Ils sont lourds et imposants, s’extasia mon bourreau en les pinçant violemment. Je ne m’en suis pas rendu compte tout de suite mais tu as vraiment beaucoup de potentiel. Voilà le programme, vide-couilles, je vais me servir de ton cul pour me vider, ensuite j’irai te présenter à quelqu’un qui pourrait être très intéressé et qui pourrait arranger tous tes soucis d’argent. Compris ?Mes seins et mon cul me faisaient souffrir mais je sentais que je mouillais sous les sévices infligés. J’étais traumatisée mais ...
    ... je devais me rendre à l’évidence : j’étais prise au piège. Je laissais donc l’homme me pilonner le cul sans rechigner mais en sanglotant. Pourtant, même si les coups de butoir étaient très violents, je ressentais une certaine excitation à être utilisée comme une simple poupée gonflable, un vulgaire sextoy.- Hum oui, pleurs, tu m’excites, me dit-il entre ses dents en accélérant son assaut. Vas-y, tu vas me faire jouir connasse !Il se retire alors de mon anus douloureux et jouit sur moi. De longues giclées de sperme viennent se perdre sur mes gros seins, dans mes cheveux et sur mon visage déjà barbouillé de larmes.- Hum, t’es vraiment une grosse salope toi hein, tu aimes la bite et le sperme, chienne, me gratifie-t-il avant de me gifler. Je reprends la route, je vais t’amener à ta nouvelle maison. Tu vas voir, les putes comme toi s’y plaisent bien. Sois gentille et ne fais aucun bruit d’accord ? J’aime quand tu fermes ta gueule, au cas où tu ne l’aurais pas compris.Le routier regagna sa place, derrière son volant, alluma la radio et une cigarette, me laissant seule, uniquement vêtue de mes talons, recouverte de sperme, de bave qui s’échappait du bâillon et de ma mouille.Une suite? 
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