Vanessa (4)
Datte: 19/11/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... êtes en manque l’un de l’autre, j’en suis certaine, et de lui laisser passer le week-end avec lui, l’esprit occupé par ses regrets et sa culpabilité, va rendre vos retrouvailles plus intenses. — À mon avis, Papou, tu va vivre un feu d’artifice quand tu rentreras lundi soir avec Maman. En attendant, tu es mon prisonnier, comme tu dis, et partout où, Vanessa et moi, on ira, tu seras avec nous. — Tu veux dire que ton père va venir faire les magasins avec nous ? — Évidemment ! On a besoin d’un chauffeur, d’un homme costaud et séduisant pour porter nos paquets et nous escorter. En plus, il n’a strictement aucun avis sur les fringues de filles et il déteste ça faire du shoping. Ça le rend bougon et c’est très drôle. Ça va être génial ! — Ah, c’est malin ! Fit Jacques en haussant les épaules. J’imagine que vous aurez aussi besoin de ma carte bancaire… — Ça, Papou, on n’osait pas te le demander mais c’est si gentiment proposé. Je suis sûre que ma Vany t’en sera très reconnaissante. Pas vrai Chérie ? — Oh si, j’ai même hâte d’être très reconnaissante envers toi, Jacques. — Et si tu es gentil avec notre fille, tu peux être certain que Daniel et moi on sera aussi très gentil avec toi. — C’est un homme comblé que Josy va retrouver mais on ne pourrait pas lui permettre de venir dimanche soir ? Après que Bruno soit parti, bien sûr… Demanda Jacques à tout hasard. Je travaille lundi. — Certainement pas ! S’exclama Vanessa en exprimant la pensée de Karine. Que Josy passe une nuit toute ...
... seule, ça lui fera les pieds. — Vanessa ! S’exclama Odile outrée. — Elle m’a ôté les mots de la bouche et je sais très bien que lundi, Maman ne pourra pas être là avant dix-huit heures. Par contre, Papou, toi et moi, on sera là vers dix-sept heures et j’aimerai bien que tu sois en train de m’enculer quand elle nous présentera ses excuses. — Ça, c’est un peu méchant, remarqua Vanessa en posant une main sur la cuisse de son amie. — C’est odieux tu veux dire, dit Odile presque choquée. — Mais je suis méchante ! Déclara Karine fièrement. Quiconque fait du mal à une personne que j’aime doit se méfier de moi. Maman mérite une gifle et je vais la lui mettre ! — Je ne veux pas te décevoir, ma fille mais je doute fortement d’être capable de t’enculer devant elle… — Ah bon ? Parce que Bruno ne l’a pas fait devant toi ? — Si… — Alors tu le feras. Et même ! Si tu as besoin de motivation, je peux te dire que tu ne pourras pas m’enculer avant. Même si tu en as autant envie que moi… — Ça c’est très méchant, dit Vanessa en embrassant son amie sur la bouche. Je t’adore. — Ce ne sont pas des filles que nous avons, dit Daniel ébahi. — Tu as raison, ce sont des salopes, répondit Jacques incrédule. De fieffées salopes, même ! — Ce ne sont pas des salopes ! Se fâcha Odile. Elles savent ce qu’elles veulent et ne reculent devant rien. Elles sont très fortes, au contraire et ça perturbe un peu, j’avoue. — Mais non, Maman, on est des salopes ! C’est évident. Regarde-les, ils ne voient que ça en nous et ça ...