Anne Hathaway (1) - Histoires de Sexe

Anne Hathaway (1)

... mouvements de va et vient que je faisais pour me soulager. Je lui ai répondu honnêtement : « Je suis terrifié, c’est vrai. Mais je suis près à mourir pour une femme aussi belle que vous. » Elle m’a embrassé langoureusement, puis elle a porté ses crocs contre mon cou. Elle n’a pas percé immédiatement cependant. Elle en avait diablement envie, ça c’était évident à sa respiration intense. Elle hésitait. Elle m’a dit « Peut-être que tu mérites une petite récompense pour ta ‘loyauté’… » Elle m’a fait un petit bisou sur la bouche. Puis s’est mise à genoux devant moi. En descendant, elle a claqué des crocs près de la chair de mon torse, de mon ventre, puis de ma queue. Elle avait visiblement envie de me manger tout cru. Elle a continué : « J’ai terriblement faim. Si je te suce il y a de grandes chances pour que je n’arrive pas à me retenir et que je te castre sur le champ avec mes dents. Es-tu prêt à courir ce risque pour ma beauté ? » Sans hésiter, je lui ai dit que oui. J’ai présenté ma queue à sa bouche avec timidité. Elle souriait. Elle a pris ma virilité dans sa bouche chaude et humide. Elle m’a sucé sans s’aider des mains pour commencer. Le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle ne faisait pas d’effort pour que ses dents ne fasse pas parti de la fellation. Mais Anne avait une grande bouche et il y avait de la place pour que mon membre évite les crocs quand elle m’accordait cette faveur, car oui, naturellement séductrice, elle veillait parfois à mon plaisir. En fait, d’un ...

... instant à l’autre, soit elle me torturait avec ses dents, soit elle me suçait en bonne et due forme. Que ce soit l’un ou l’autre, elle était littéralement affamée, et ça voulait dire qu’elle me pompait comme on ne m’avait jamais pompé. Elle a porté ses mains à la base de ma queue et à mes couilles pour les caresser ou les presser. Subjugué par sa beauté, j’ai passé ma main dans ces cheveux courts. Elle pouvait me couper la queue si cela lui faisait plaisir. Rien d’autre ne comptait en ce moment que son contentement. Elle s’en rendait bien compte, elle qui me mordillait - ou même me mordait - pour tester ma loyauté. J’étais prêt à perdre ma virilité pour elle, et ma vie. Elle me récompensait au centuple avec sa bouche et la façon qu’elle avait de jouer avec mon sexe. Elle a sorti mon membre et en a posé le bout contre sa joue, tout en me branlant et me pressant les couilles pour mieux m’exciter jusqu’au point de non retour. Elle m’a dit avec une lueur perverse dans les yeux « Choisis, soit tu jouis dans ma bouche et ensuite je te tue, soit tu renonces à ton orgasme et je te laisse la vie sauve. » Je n’ai pas réfléchi et j’ai tout de suite dit « Je veux jouir. Je veux jouir ! » Elle a ouvert la bouche en grand et a tiré la langue vers le bas. J’ai commencé à me masturber au dessus d’elle pour me finir. Mais ça n’allait pas. « Vous pouvez me tuer si vous le voulez, plutôt que de supporter mon insolence mais… » Elle n’en revenait pas que j’étais sur le point de réclamer quelque chose, ...