1. Ce n'était qu'une simple soirée (7)


    Datte: 19/11/2018, Catégories: Hétéro

    C’est fou. Dire que tout cela découle d’une simple rencontre au cours d’une soirée avec deux amis. En revenant au travail, je suis un peu ébranlé en pensant à ces derniers jours. J’ai passé la nuit avec Jessica, la fille de mon patron. J’ai couché avec Vanessa et Jennifer, deux de ses amies, et je m’apprête à passer la soirée avec Elise, une troisième copine. Elles ont toutes 18 ans. J’en ai 38. En vérité, je revis. L’après-midi passe très vite car j’ai une réunion qui m’occupe plus de deux heures. Il est 17h45 quand je quitte ma place de travail et rentre chez moi. Après une douche rapide, je prépare mes vêtements pour sortir. L’interphone sonne. Vanessa. Quelques secondes plus tard, elle est à la porte dans une très courte robe rouge hyper moulante qui fait, certes, ressortir son ventre, mais également ses gros seins ronds. Vulgairement excitante, j’en arrive à espérer que mes voisins ne l’aient pas vue. Elle entre, se jette à mon cou avant de s’agenouiller pour me sucer. Elle n’a eu qu’à défaire la serviette que je portais nouée autour de la taille. Je n’ai pas encore dit un mot à part "Salut". La petite cochonne a bien retenu la leçon de la fellation de la veille. Elle me pompe agréablement bien. Elle se relève. Nous nous embrassons. — Quelle arrivée… Vanessa rit. Elle s’éloigne de moi, tourne sur elle-même. — Je te plais ? — Tu es très excitante. Elle fait la moue. Elle doit sentir que je ne suis pas emballé. — Ça te plait, oui ou non ? — La robe est trop moulante pour ...
    ... toi, les talons trop hauts, tu peines à marcher, tu es trop maquillée, tu n’as pas mis de dessous et on voit tout. Tu m’excites beaucoup, mais cette tenue… Vanessa m’interrompt. — Tu as envie de me baiser ? — Comme jamais. — Emmène-moi dans ta chambre. Ni une ni deux, je la couche dans le lit et, après une vif cunnilingus, je la prends alors qu’elle n’a quitté aucun vêtement. Alors que je pistonne la plantureuse brune dont les jambes sont posées sur mes épaules, je lui dis : — Tu es habillée comme un pute et ça me rend fou. Vanessa ne répond pas, incapable d’articuler tant elle gémit et halète sous la vivacité de mes allers-retour. Un peu brusque, je la retourne pour qu’elle se mette à quatre pattes et je la ramone avec plus d’intensité encore. Sublime jouissance. Sur le lit, Vanessa reprend son souffle, sourire aux lèvres. — Je crois que je vais revenir chez toi habillée ainsi. Je dis le fond de ma pensée. — Hier, tu étais encore une jeune fille timide et… Elle me coupe. — Et j’ai découvert le sexe et depuis, je n’ai envie que de ça. — Tu m’en vois ravi ! Vanessa sourit et rougit un peu avant d’avouer : — J’ai sucé un copain de classe cet après-midi entre deux cours. Je dois passer chez lui demain après l’école, je suis trop excitée. J’ai envie de le faire tout le temps. Je n’en reviens pas. La jeune femme qui est devant moi est à des années-lumières de celle rencontrée le week-end précédent. C’est pourtant la même. Nous nous levons et allons à la cuisine. Je sers une verre ...
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