1. Des camarades de classe (6)


    Datte: 19/11/2018, Catégories: Gay

    De retour à la maison, Cyrille et Philippe donnèrent les œufs à Evelyne qui s’apprêtait à préparer le repas. Michel était en train de finir de vider le coffre de la voiture. Il restait encore à sortir les vélos de la remorque, mais cela pouvait encore attendre. Philippe fit un rapide tour du propriétaire pour que Cyrille découvre la maison. Les parents leur avaient laissé la possibilité de choisir leur chambre, et Dieu sait s’il y en avait ! Ils optèrent pour occuper ensemble la grande chambre à l’étage ; cela sembla logique aux parents qui étaient loin de se douter qu’elle se transformerait chaque nuit en baisodrome. Les deux jeunes amants montèrent leurs valises et sacs puis rangèrent leurs affaires dans les armoires. Philippe passa une main dans le short de Cyrille qui, les mains occupées à porter ses affaires de toilette, ne put se défendre, même s’il en avait eu réellement envie. ─ Ma parole, tu as le cul trempé et ta culotte est toute collante ! Je voulais que tu la gardes le plus longtemps possible, mais à ce rythme tu vas sentir le foutre à des kilomètres à la ronde en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. ─ J’aurais dû en piquer une autre à ta sœur… ─ On fera une sortie en vélo un soir et on essayera d’en faucher sur un étendeur à linge. Evelyne les appela pour manger. Au menu : salade, œufs durs, dés de jambon et de gruyère. Michel proposa des bières, et tout le monde prit une bouteille. ─ Alors, qu’avez-vous comme projet pour cet après-midi ? ─ Eh bien, comme ...
    ... nous nous sommes réveillés tôt, nous ferons une petite sieste puis nous ferons un petit tour en vélo pour faire découvrir les alentours à Cyrille. Philippe et Cyrille sillonnaient les chemins alentour depuis à peine une heure mais ils avaient déjà chaud. Sous le soleil estival, les pentes devenaient vite éprouvantes. Philippe proposa une descente qu’il faudrait forcément remonter ensuite, mais elle leur permettrait d’aller se baigner et de rester au frais aussi longtemps qu’ils le souhaiteraient. L’endroit était désert. Forcément, puisque il était impossible d’atteindre le site en voiture. Ils durent même porter les vélos sur plusieurs dizaines de mètres et franchir précautionneusement des passages étroits entre des ronces qui s’en donnaient à cœur joie. En contrepartie, elles leur offraient un lieu discret pour satisfaire leur besoin insatiable de sexe. La rivière coulait entre les pans de montagne et offrait de nombreuses criques à l’ombre des frondaisons. Cyrille jeta son dévolu sur un gros rocher qui surplombait de quelques mètres une zone plus profonde du cours d’eau. Ils pouvaient ainsi plonger sans risquer de toucher le fond, et surtout ils dominaient ainsi le sentier qui amenait jusqu’à ce petit coin de paradis. Si quelqu’un approchait, ils entendraient le nouvel arrivant bien avant qu’il ne les voie. Forts de cette sécurité, ils tombèrent les habits et restèrent nus. Philippe voulut faire trempette tout de suite pour se rafraîchir mais Cyrille aurait préféré goûter à ...
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