Le plombier 3 - Histoires de Sexe

Le plombier 3

Mon beau Nico a quitté précipitamment la chambre le mardi. Les deux jours qui suivirent je me posai des questions : le reverrai-je ? Ai-je bien pris du plaisir physique quand il étai en moi ou fut ce juste psychologique, le fait de briser un tabou ? D'autant plus que mon anus m'a fait un peu mal le reste de la journée. J'essayais de faire bonne figure te d'être moins songeur en présence de ma femme qui heureusement n'était pas très câline. Le jeudi soir , ma voisine Anna vint sonner à la porte. Bonsoir Stéphane mon mari a enfin ses RTT nous pouvons partir en week-end dès ce soir. Seulement notre plombier doit passer demain pour les dernières finitions de la piscine. Comme tu es là demain veux-tu bien lui ouvrir ? Je te laisse les clefs. Bien sûr heureux de te rendre service bon week-end. Merci bisous à ta femme je récupère mes clefs lundi. J'avais la réponse à ma première question je serai bien obligé de revoir le plombier. Quand ma femme est partie travailler vendredi, je guettais avec impatience la venue de la camionnette de l'artisan. Cette attente a fait monter le désir en moi, une fois de plus j'avais envie de lui, de l'embrasser, de le caresser, de goûter une nouvelle fois à son sexe et à son cul. Enfin, après une interminable attente il arriva. Je me donnai bonne prestance, j'attendis qu'il sonne et ne me précipitai pas à sa rencontre même si je voulais sa bouche. Est-ce le monde dans la rue ? Il fit comme s'il ne me connaissait pas et me demanda poliment les clefs. ...

... Il jouait de nouveau avec moi,il voyait forcément ma bosse dans mon short. Enfin ses mots magiques : _ J'en ai pour une heure et demi , deux max rejoins moi à la piscine dans 2h. Phrase accompagnée d'un large sourire et d'un clin d’œil. Ouf, plus qu'à attendre . Je partis prendre une douche froide pour calmer mes ardeurs. 1h59min et 58 s plus tard, je franchissais la porte des voisins. Vite je traversai le salon pour ouvrir la baie vitrée qui me conduirait dans la cour et à la piscine. Nico était là, il venait de ranger ses outils et il ne portait que sa salopette de chantier. Pas besoin de nous parler, nous savions pourquoi nous étions là. Nos langues se mélangent avec la fougue d'un baiser espéré depuis trois jours. Déjà mes mains le caressaient et défaisaient les boucles de sa salopette. Lui, me baissait le short. Agréable surprise ni l'un ni l'autre n'avions de vêtements. Il avait autant envie de moi que moi de lui. Enfin nus, nous continuions à nous embrasser. Nos sexes érigés se frottaient. Je me souvenais du plaisir qu'il me fit ressentir la première fois dans la cuisine. Je lui rendis donc la pareil en lui léchant les mamelons. Il se laissa faire et j'émis un sourire de satisfaction en arrivant à le faire pointer. Cette fois c'est moi qui prenait les choses en main. Je l’entraînais vers le bain de soleil qui longeait la piscine. Je m'allongeai et il se mit sur moi tête bêche pour un 69. Là encore on vit la marque de l'expert. Sa langue agile alternait avec ses doigts ...