Retour D'une Soirée D'entreprise
Datte: 22/11/2018,
Catégories:
Épouses affectueuses,
... Il nous rejoignit en disant : - " Entrez, j'ai mis un café en route, je vais lui faire prendre un bain et lui donner un café très fort ". Il l'entraîna vers la salle de bain, elle avait toujours sa main droite qui pressait fortement son pubis à travers la robe et je suis à peu près sûr qu'elle continuait à se branler à travers le tissu. Il ferma la porte de la salle de bain derrière eux, j'entendis qu'il lui enlevait sa robe. Je me disais pourvu qu'il ne remarque pas les marques sur les hanches et aux épaules faites sur sa jolie peau fragile et fine de rousse, par ceux dont je fus, qui la baisant par derrière, surtout en levrette, l'empoignèrent vigoureusement aux épaules et aux hanches. Pour bien la connaître aussi je savais que sa chatte était caractéristique de son état d'excitation. Là, au cours de la soirée, masturbée, léchée, écartée, branlée, sucée, engodée, enfilée, baisée..., pendant une bonne partie de la nuit, la chatte était rouge, très ouverte avec les grandes lèvres, déjà bien épaisses et larges, devenues très turgescentes et gonflées. Ses petites lèvres d'ordinaire très discrètes, roses et peu marquées, sont chez elle, dans ces moments très pendantes, faisant saillie entre les grandes lèvres, très ridées et d'un rose violacé dû à l'afflux de sang. Le clitoris, lui aussi très bandé, est magnifiquement érectile sous mes pointes de langue, et ce soir là, je m'en étais pas privé. Quand elle est excitée ainsi et un peu " allumée " par le champagne, son " clito " ...
... fait très nettement sailli du capuchon, la hampe très relevée, le pointant très haut, nettement hors des poils qu'il dépasse largement dans ces occasions. Les poils de rousse, sont eux aussi très caractéristiques : très fins et peu fournis, ils deviennent sous l'effet des frottements divers, des mouillages, des décharges de bites ou de cyprine et des léchages variés, soyeux, beaucoup plus souples et bouclés, rejetés largement sur les côtés des cuisses et du pubis, dégageant largement la fente, le trou du cul et l'entrée du con.... Oui, pas besoin d'être un grand expert, il faut seulement bien connaître Mireille, pour s'apercevoir qu'elle n'avait pas fait que boire et danser cette nuit là!... J'entendais qu'il la douchait et la frictionnait au grain de crin. Ce traitement, sans doute donné avec attention mais très fermement, la rendait tour à tour hilare et gémissante... Deux ou trois fois, elle entrecoupa ses rires de chansons du style de : " Il était un petit navire " et " C'est la danse des canards ".... Je craignais qu'elle n'entonne : " Le curé de Camaret" ou " Jeanneton ". Non pour mes chastes oreilles, mais parce que cela aurait trop donné le ton de notre équipée nocturne à son mari. Je remarquais alors, que Bernard, son mari donc, avait posé la robe du soir de Mireille à la porte de la salle de bain, dans le couloir, puis avait repoussé la porte. Je me souvins du soutien-gorge de la belle Mireille. Je le sortis de la poche intérieure de mon veston et allais rapidement le ...