1. Je me découvre et début de ma vie de petite coquine (1)


    Datte: 22/11/2018, Catégories: Hétéro

    C’est bon j’ai mon bac, un peu à l’arrache, mais l’essentiel est de le décrocher. Ma note d’oral d’anglais a fait la différence. J’ai eu une très bonne note bien au dessus de mon niveau qui est quand même très correct. Je m’en suis bien sortie, le plus, ma tenue sobre et sexy. Une petite jupe style tailleur achetée pour l’occasion et que j’ai beaucoup raccourcie. Un chemisier blanc juste moulant pour laisser entrevoir ma belle poitrine (90D pour les connaisseurs) et des nu-pieds avec un petit talon. Bien sûr mon maquillage est bien soigné, rouge sur tous les ongles, j’ai une queue de cheval (je vous laisse imaginer la brunette que je suis, 1m66, 53kg). Depuis 1 mois et mes 18 ans sobrement fêtés, révisions obligent, je ne sais pas pourquoi, j’ai des envies coquines. Je me suis moi même offerte avec l’argent donné par mamie un épilateur et je suis toute lisse, plus aucun poil nul part. Je poursuis avec mon oral de bac. Pour que le récit soit plus vivant la suite est racontée au présent, il débute lorsque mon père m’appelle, il va me conduire à mon examen en voiture. «Anne, ma chérie c’est l’heure on y va !» «Je suis prête !» Mon père me regarde septique. «C’est pas trop court ?» «Non, t’inquiète...» En voiture, assise devant la jupe dévoile toutes mes cuisses, il ne reste plus de 2 cm de tissus au grand maximum avant ma petite culotte. J’ai mis de la crème, mes jambes sont belles. Je suis confiante, mon père stresse de son côté. Il jette des petits coups d’œil vers mes ...
    ... cuisses. «C’est trop court, tu ne veux vraiment pas te changer ?» «Non.» «Tu as bien ta convocation ?» «Oui.» «Et ta carte d’identité ?» «Oui.» «C’est trop sexy à mon avis.» «t’inquiète.» Une chaleur monte de mon bas ventre et mes tétons se durcissent alors que mon père profite d’un feu rouge pour admirer mes cuisses. Vérification dans la petite glace, mes yeux sont magnifiques, mon maquillage est top, et deux petites pointes tendent mon chemisier. Je meure d’envie de me mettre 2 doigts, je sens que je suis trempée. Mon père manque de renverser une petite mamie qui traverse sur un passage piéton. La voiture pile alors que mon père louche sur mes cuisses. Il finit quand même par arriver à me conduire à destination. Mon père me dépose avec 30 minutes d’avance. Je me précipite aux toilettes. Ma culotte me colle et entre dans ma fente. Retirée, elle est mouillée et devenue transparente. Mes doigts glissent et m’écartent, je dégouline. L’index et le majeur de l’autre main tripotent mon clito. Je vacille sur mes talons, je jouis, laisse échapper un cri malgré moi. Appuyée au mur, haletante, tout mon corps réclame du sexe. La culotte est trop humide, elle me gêne, elle termine au fond du sac. Le miroir me renvoie l’image d’une fille canon, mes yeux noisettes avec des longs cils, sublimes paraît il :) trahissent mon envie. Les boutons du chemisier résistent courageusement aux tétons qui veulent transpercer les tissus. C’est mon tour, le prof me détaille de la tête au pied, avec un petit ...
«1234»