Le secret de Cassidie (1) - Histoires de Sexe

Le secret de Cassidie (1)

... ses mains autour de ma nuque. En une seconde je sens ses lèvres chaudes ce poser brutalement sur les miennes. Lorsque j’ai senti sa langue se frotter à la mienne un frisson me transperça et mon désir de cette inconnue s’est intensifié. Nous avons roulé près de quinze minutes avant d’arriver devant une bâtisse partageant plusieurs appartements. Il m’invita à rentrer et me fît visiter chacune des pièces en terminant par la chambre. Son appartement était très lumineux, de style moderne et étonnamment plus que bien rangé. Il n’avait rien prononcé de tout le voyage, j’attendais impatiemment qu’il me dise ce qu’il voulait de moi. Après avoir allumé une lumière douce, il se plongeât dans mon regard, je le sentis se rapprocher, sa main m’attraper la hanche, son souffle sur mon cou. Je n’en peux plus, à croire qu’il va me faire exploser. — Je vais te donner ce que tu aimes, tout ce que tu aimes. Me susurrait-il à l’oreille Je n’ose prononcer un seul mot. Il dégrafa ma robe et me la glissa aux chevilles. Il ne me restait plus que mon string noir à dentelle rouge acheter pour cette soirée et mes talons aiguillent. Il arracha sa chemise noire et là jetât sur le sol, il dégrafa sa ceinture en me regardant de son air dominant. J’étais comme captivé par son geste. Son jean tomba de lui-même, j’ai été surprise par la taille de son pénis caché derrière son boxer. C’était définitif je le voulais en moi, je voulais le sentir ou m’enfuir. Il se rapprocha de moi, j’avais la tête baissé, ...

... intimidé. Ni une ni deux il me fit ouvrir la bouche. Il l’enfonça profondément. Je peux à peine respirer et bouger ma langue vue la taille de son sexe. Je sentais chaque contraction de sa verge, ses mains sur ma tête m’ordonnant d’y allaient plus profondément et plus vite. Je sentis mes larmes roulées sur mes joues, il ne parlait pas, il ne pensait qu’à son propre plaisir. Je l’entendais doucement gémir au vas et viens qu’il m’ordonnait. Il me laissa enfin reprendre mon souffle tout en lui léchant délicatement le gland. Il m’allongea violemment sur le lit, je n’attendais que ça qu’il m’enfonce son chibre au plus profond de moi. Il se coucha d’abord sur moi. — Supplie-moi. Dit-il avec son air autoritaire. — Que veux-tu ? kfbkwwt Il sera une main sur ma gorge en me fixant d’un regard sombre. — Tu la veux tu me supplies. Je sens en moi un désir inconnu, je ne savais plus quoi faire. Je l’ai supplié encore et encore pour qu’il me prenne. Il est rentré en moi en un seul coup de bite. Je le sentais comme jamais je n’avais pu sentir un homme, je sentais chaque contraction, chaque centimètre de sa verge me percutait, chaque muscle de son corps se contracter. J’aime l’entendre gémir j’aimerais en faire autant mais il me fait taire sa main sur ma bouche. Il continue de me défoncer, je sens qu’il va craquer. Je l’entendis gémir une dernière fois avant de sentir dans mon ventre son sperme chaud coulé en moi. Je sentis sa bite se retirer rapidement et se frotter contre mon clitoris. Il me murmura ...