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Inondations à Cracovie (1)
Datte: 22/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe
... Malheureusement, les inondations firent leurs apparitions et bientôt il fut impossible de circuler en voiture dans une bonne partie de la ville. Plusieurs ponts furent même interdits de passage ! Le soir, à l’hôtel, des ouvriers des ponts et chaussées venus en renfort occupèrent toutes les chambres encore disponibles. Je peux vous dire que ces gens-là ne sont pas des gringalets, quasi tous faisaient au moins 1m90 et que des corps comme des bahuts. Pendant que nous prenions notre repas du soir, eux mangeaient peu mais buvaient énormément. 2 sont venus à notre table et ont essayé d’engager la conversation, mais nous ne comprenions rien. Je voyais bien qu’ils étaient plus intéressés par ma femme que par moi, c’était bien normal car elle était resplendissante dans sa petite robe noire au décolleté profond. Vers 23h00 nous avons décidé de nous rendre dans notre chambre. Dans le même couloir, plusieurs de ces hommes allaient et venaient d’une chambre à l’autre. Ils étaient dans un état que je qualifierais de "joyeux", presque tous tenaient une bouteille ou un verre en main. Nous avons discuté un petit moment puis ma chérie s’est rendue compte qu’elle n’avait plus de cigarette. J’ai téléphoné à la réception où on m’a répondu qu’ils en avaient mais, surchargés de travail à cause de l’afflux de clients, ne pouvaient nous les amener. J’étais sous la douche quand j’entendis ma chérie me dire qu’elle descendait elle-même en acheter. 20 minutes plus tard elle n’était toujours pas revenue ...
... et j’ai commencé à m’inquiéter. J’ai voulu joindre la réception, mais personne ne décrochait. J’ai enfilé un pantalon, une chemise et mes chaussures puis j’ai ouvert la porte afin de m’y rendre (à la réception). La porte ouverte, un bruit de conversation et de rires se fit entendre. Je suis sorti dans le couloir et là ... là je vis plusieurs hommes autour de ma femme qui discutaient et rigolaient avec elle qui semblait s’amuser. Je rejoignis le groupe et cela ne les perturba pas le moins du monde. Bien au contraire, l’un d’eux me parla (et je ne comprenais toujours rien) et me montra ma femme en levant le pouce. Je les voyais qui arrivaient à peine à se dominer, j’avais l’impression qu’ils étaient prêts à la violer dans le couloir. Elle me prit par la main et m’amena à elle. Elle m’en montra un qui balbutiait quelques mots en anglais et en français. Il lui faisait des avances non déguisées, lui demandait de venir dans la chambre qu’il occupait avec un autre. Dans le même temps il parlait avec ses compagnons et je voyais le ton monter, ne plus être aussi amicale. Tout à coup, un des hommes mit un bras sur les épaules de ma femme et une main sur sa poitrine. Là je dis stop ! Je pris ma femme et nous allâmes dans notre chambre. Quelques minutes plus tard le silence se rétablit dans le couloir. Après avoir grillé une cigarette et alors que nous nous apprêtions à nous coucher, on frappa à notre porte. Je suis allé ouvrir et celui qui bredouillait français se tenait devant moi. Il ...