1. Catherine, nymphomane dévorée (1)


    Datte: 22/11/2018, Catégories: Erotique,

    ... bien que les deux jeunes amis eurent bientôt le sexe de l’autre en main. Fabrice était écarlate de honte, Mehdi rougissait de colère. Mais le désir était trop fort, ils n’osaient bouger de peur que la belle blonde, mirage éphémère, ne disparaisse aussi fugacement qu’elle était apparue. Catherine bougeait ses fesses en se caressant les seins, elle murmurait des mots obscènes qui s’ouvraient dans la cabine glauque comme des fleurs noires, elle les mettait au défi de venir sur son visage, elle les ridiculisait, « tu n’oseras pas jouir sur moi, j’ai l’âge d’être ta mère, tu n’es qu’un gamin », elle alternait les encouragements tendres et les mesquineries désarçonnantes. N’en pouvant plus, et sachant que la condition de sa présence était qu’ils obéissent, Mehdi et Fabrice commencèrent à se masturber. D’abord, ce fut du bout des doigts, timidement, en évitant scrupuleusement de croiser le regard de l’autre ; ils n’avaient jamais touché d’autre pénis que le leur et la sensation du membre palpitant entre les doigts était très déroutante, mais pas désagréable. Puis ils commencèrent à sentir le plaisir -que la pause dans leurs ébats avait estompé - ressurgir ; ils sentirent la jouissance monter, doucement, comme une source d’eau dégelant sous les premières lueurs du printemps. Ils sentaient leur esprit s’évanouir au fur et à mesure que la semence remontait depuis les profondeurs jusqu’au sommet de leur sexe. La glace était sur le point de fondre sous les rayons dorés, le rythme de ...
    ... leur cœur s’accélérait, leurs reins s’embrasaient, chaque parcelle de leur sexe était stimulée par la paume de l’autre, chaque parcelle de peau était plaisir, chaque peau était plaisir. rerjjzk Comme animée par l’harmonie de leur masturbation, Catherine sentit son corps partir dans une danse sensuelle, passionnée, digne des rythmes ensorcelés d’Afrique. Elle bougeait ses fesses, elle voulait montrer leur galbe à la terre entière : son cul était rond, honte, monde. Elle tordait ses seins. Elle essuyait sur leur peau tendre et pâle, de ses mains l’invisible souillure d’être une femme. Torturer sa féminité, la mettre au soleil pour qu’elle brûle. Elle avait tellement chaud, elle émettait des gémissements de plaisir qui confinaient intimement à la douleur épousée. Fabrice et Mehdi se branlaient vigoureusement, ils se regardaient maintenant dans les yeux. Dès que l’un accélérait le mouvement, l’autre suivait ; ils ne masturbaient plus un pénis, mais la virilité du monde même. Le désir enflait, il montait comme un soleil blanc, chancelant comme une goutte de sueur dans un ciel perdu, manquant de s’écraser à chaque seconde dans une mer abîmée. Le soleil embrasait le ciel, chauffant à blanc leurs tempes, leurs joues, leurs reins. La semence montait, elle allait éclater au grand jour, la jouissance grondait du fond de leur être. Sous le soleil blanc, Catherine se déchaînait, elle implorait pour qu’on l’abreuve d’une goutte de sperme comme s’il se fût agi de la dernière goutte d’eau sur ...