1. Comment régler sa facture...


    Datte: 23/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... dressés se rejoignaient ensuite derrière mon cou. Il me fit passer des gants blancs montant jusqu'aux coudes, et chausser des talons aiguilles blancs. J'étais extrêmement bronzée, cette lingerie mettait mon corps en valeur. « Voilà, parfait... Qu'en penses-tu Victor - Très bien Monsieur... Mais il me semble entendre leur camionnette... » Alfred, s'approcha de moi, écarta les bandes de tissu sur mes seins, pour bien libérer mes mamelons. Il élargit au maximum la fente du string pour dégager ma chatte. « Voilà, Trixie tu peux aller leur ouvrir !... » Un coup de sonnette retenti. J'ouvris la porte, c'était bien les deux paysans en salopette bleue qui se tenaient derrière celle-ci. « Oh, putain... !! - Waouhhh... super cette tenue... » Je les regardais, ils étaient vraiment laids. Le père avait environ soixante douze ans, il était maigre et sec, le visage ridé, en lame de couteau barré par une moustache, le crâne dégarni, des sourcils broussailleux. Son fils qui nous avait reçu lors de notre dernière visite, était un homme d'environ quarante cinq ans. Il était corpulent, avec un embonpoint conséquent, les cheveux courts, pas rasé, des bajoues, un double menton, un nez assez épaté. Il était légèrement plus petit que moi. Sa salopette dont la fermeture éclair descendue jusqu'à ses poils pubiens dont une touffe noire apparaissait, dévoilait un torse velu, elle était assez poussiéreuse, et sentait la transpiration. On pouvait les qualifier de répugnants. Mais ils avaient quelque ...
    ... chose qui supplantait leur laideur, mes yeux se portèrent sur « cette chose ». Deux énormes bosses commençaient à prendre forme le long de leurs cuisses. Ils devaient être nus dessous. La pensée de leurs sexes en érection me chauffa le bas ventre, je commençais a mouiller en pensant a ce qui allait sûrement suivre. « En... entrez bredouillais-je... - Bonjour, on peut s'embrasser non ?» Le petit gros s'approcha de moi, il m'enlaça et sa bouche se posa sur la mienne, sa langue força mes lèvres, une de ses mains se posa sur un sein et l'autre se plaqua sur ma chatte. Son majeur s'enfonça entre mes lèvres humides. Mentalement je me traitais de salope mais, je lui rendis son baiser. Alfred n'attendait que ça... et moi, leur laideur m'excitait... surtout la grosse bite qui se frottait contre ma cuisse. Une de mes boucles d'oreille se détacha, je la rattrapais... « Papa, la petite Salope mouille déjà ! - Eh, mais tu pourrais dire bonjour à tous le monde... - Entrez messieurs, venez me rejoindre au salon. Victor nous a préparé des collations ! Trixie conduit ces messieurs... » Je me dégageais doucement et passait devant devant eux pour les conduire vers Alfred. « Putain, dit le vieux fermier, l'envers du string vaut l'endroit... !! » Je laissais tomber devant moi, ma boucle d'oreille. Les jambes légèrement écartées, je pliais mon tronc pour la ramasser. Mon anus entrouvert se dévoila à leurs regards. Je sentis la main du vieux se poser sur ma fesse, un doigt glisser le long de ma raie et ...
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