1. Comment régler sa facture...


    Datte: 23/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... grandes ouvertes pour que Alfred qui se trouvait debout au pied du lit ne puisse rien perdre de ce qui allait suivre. Le vieux Louis était allongé à côté de moi, son énorme queue à moitié rigide reposait sur le haut de ma cuisse, juste après la limite du bas . Sa main gauche calleuse aux ongles sales, se posa sur ma cuisse droite et il la passa sous la lanière du porte-jarretelles, puis lentement il la fit remonter et me caressa le ventre sous la mince bande de tissu de dentelle blanche. Elle redescendit sur ma chatte et son index et son majeur entrèrent dans ma vulve. Ses lèvres se posèrent sur les miennes, sa langue fouilla ma bouche, nos salives se mélangèrent... Alfred me demanda d'écarter un peu plus le jambes, j'obéis. Le paysan en profitant pour entrer les quatre doigts de sa main, tandis que son pouce frottais mon clitoris en petits cercles concentriques. Je gémissais de plaisir... Ma chatte écartelée ruisselait, son pouce quitta mon clito et vint s'adjoindre aux autres doigts, il poussa doucement la moitié de sa main dans mon vagin... « Putain ce que tu es bonne, petite salope... Tiens lèche ton foutre sur ma main... » Ma langue essuya sa main... Il se mit à genoux face à Alfred. Sa bite avait maintenant une proportion phénoménale, le bout de son méat atteignait presque son sternum. Il me demanda de le sucer, pour me dit-il la faire durcir encore un peu. Je lui léchais le pourtour du gland lentement en l'humectant avec ma salive. « Met la dans ta bouche... » Ce que ...
    ... je fis, et je commençais a avaler cette immense hampe. Il posa main derrière ma tête et appuya doucement pour faire glisser son pénis dans ma gorge. « Woouuuaaahhhhhh, c'est merveilleux, tu vas arriver à tout avaler... Doucement, doucement ne me fais pas éjaculer... pas encore ! » Malgré ma bonne volonté et les encouragements d'Alfred, je ne parvins pas à avaler entièrement cet énorme boa. Louis, me positionna sur le côté, me fit poser le pied droit sur son genou, comme cela Alfred était vraiment un spectateur privilégié pour la pénétration qui allait suivre. Il écarta au maximum les lanières de ce qui me servait de soutien gorge, elles compressèrent mes deux globes et les fit durcir. Ses deux énormes couilles reposaient sur sa cuisse, il attrapa avec de main droite sa monstrueuse bite et présenta le gland à l'entrée de mon orifice vaginal, je frémissais de plaisir attendant avec impatience cette longue et démesurée pénétration, il dut le sentir. « Alors petite Salope, on est impatiente de recevoir l'énorme bite du vieux Louis, tiens voilà... tu la sens entrer dans ta chatte ? Elle est grosse, hein ? Elle te plaît... putain ce que tu mouilles... elle entre toute seule... Mais ta chatte commence à la connaître... » Tout en parlant il enfonça les vingt-neuf centimètres et je senti bientôt ses couilles frotter mon entrejambe. Sa main gauche me triturait le sein droit, griffant mon aréole et pinçant mon mamelon. « Tu aimes, ma grosse queue... dis le que tu aimes... Tu aimes que je ...
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