1. Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (1)


    Datte: 23/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... timidement. Je lui réponds plus fiévreusement. Elle se laisse faire. — On se casse ? M’interroge-t-elle. — Euh... Oui. Mais je n’ai pas de voiture. — Pas grave. J’ai la mienne et je n’habite pas loin. Je fais signe à Li que je désire partir. Elle me fait signe que c’est OK d’un clin d’œil. — Passe une bonne nuit mon cœur. Tu le mérites. Je me lève, Mélissa est déjà devant la porte de sortie. Li a été, avant qu’elle ne rencontre Gégé, une sex-friend. Je lui roule une pelle avant de rejoindre ma dulcinée. Elle me prend par la main et m’entraîne vers une petite Polo hors d’âge. Le démarrage est tout aussi folklorique que l’intérieur. On voit que c’est une étudiante sans le sou. Elle démarre. On prend le chemin de chez elle, un petit appartement de la banlieue de Miramas. Je la suis jusqu’à son "home suit home". Charmant petit trois-pièces, bien aménagé et décoré. Elle me sert un whisky. Je m’assois sur le seul canapé de la pièce. Elle vient me chevaucher. — Jean ? Je crois ? — Oui, pardon... — Pas grave. — Tu invites souvent des mecs chez toi dès la première fois ? — Non, tu es le premier. — Ah... — Je ne suis plus vierge, mais les mecs que j’ai rencontrés ne sont pas à la hauteur. Dit-elle en se frottant sur ma bite encore prisonnière de mon jean. Ils sont trop jeunes et ne me comprennent pas. Avec toi j’ai compris que cela ne sera pas pareil. — Ah... Et quelles sont tes exigences ? — C’est pas facile à dire. — Lâche-toi. Que risques-tu ? — OK, mais tu vas me trouver taré... ...
    ... — A mon âge, j’en ai entendu, des vertes et des pas mûres. — OK, alors je me lance. Je me donne à toi, je veux être ton esclave sexuelle, ta soumise... Je veux connaître le grand frisson de la soumission. Devenir ta chose. Je reste coite. Cet aveu me perturbe. Non pas que je sois choqué, mais qu’elle a su déceler mon côté dominateur, voir sadique en moi. Une petite jeune à dresser à ma guise, pourquoi pas. — Tu sais que je peux être très méchant ? Lui dis-je sous un ton paternel. — Je m’en fous. Me répond-elle. — Très bien. On va aller chez moi, te faire visiter ton nouveau chez toi si tu signes le contrat. — Le contrat ? — C’est à prendre ou à laisser. Je te rappelle que c’est toi, et toi seule qui t’es mise dans cette situation. Peut-être le regretteras-tu. Je suis fou, inviter une midinette à vivre sous mon toit. N’importe quoi ! Mais la tentation est plus grande que la raison. — Je l’espère, mais je suis sûr que tu sauras faire de moi une bonne soubrette, ta pute, ta soumise, ta chose. Allais-je accepter de me remettre dans mes penchants sadiques. J’ai essayé avec une ou deux conquêtes. Elles avaient lâché après trois semaines, pour la plus endurante. Mon doute allait se dissiper très vite quand elle s’est relevée, mise nue. Mon Dieu qu’elle était belle. Noire et affreusement belle. Mon sang ne fit qu’un tour. Rondelette, petite et avec une poitrine qui m’appelait, des hanches magnifiques et aucune trace de cellulite. La perfection. Je me retiens pour ne pas la violer. — ...