1. les fantasmes de Lisa (3)


    Datte: 23/11/2018, Catégories: Divers,

    La soirée chez Alfred: A 20h, totalement liquéfiée par l’appréhension ou plutôt par la certitude de ce que j’allais devoir subir sur le plan physique, car je connaissais déjà le potentiel de violence de cet homme, j’étais devant la porte de son petit pavillon de la proche banlieue. Je sais que 90 coups de martinet et peut-être plus, cela fait mal, très mal ! J’étais certaine en outre, qu’Alfred allait s’en donner à cœur joie et me frapper de toutes ses forces et que la correction qu’il allait m’infliger n’aurait rien à voir avec celles des petits films BDSM que l’on trouve sur le net. J’avais horriblement peur de la douleur annoncée, de mes réactions, alors que j’avais promis à Arnault de tout faire pour plaire à ce sadique et satisfaire ses exigences ! Une boule serrait mon estomac et j’avais peur que mes jambes ne finissent par me lâcher mais j’étais déterminée à faire plaisir à mon homme et à tout faire, comme promis, pour satisfaire les exigences sexuelles d’Alfred. De plus, je devais obéir au vieux, à celui qui, en l’absence d’Arnault, était mon maître. J’ai appuyé sur la sonnette et dès que le coup de sonnette a retenti, il a ouvert. Habillé d’un jean et d’une chemise neige cintrée parfaitement démodée, il m’attendait, un long martinet à l’ancienne en main. Rien à voir avec ceux que l’on trouve dans les sex-shops. J’ai pâli ! Je n’avais jamais vu un tel modèle. Il était effrayant et Alfred, malgré un petit sourire narquois, avait un regard de dément ! « Entre ma ...
    ... poule ! Tu vas adorer ! Tu connais le programme ? Trente coups pour Léon, trente pour moi, pareil pour ton bonhomme, et plus si tu en redemandes mais tu vas en redemander. Retire ton manteau, pose-le là et viens par là ! Ah oui, toute la petite séance va être filmée !» Il parlait sèchement, avec un débit rapide et il bougeait sans cesse et semblait sauter d’une jambe sur l’autre. J’ai déposé mon manteau sur un meuble, dans l’entrée, et ai suivi mon bourreau dans un escalier qui menait à une espèce de cave voûtée et spécialement aménagée. Il Y avait installé une barre de gymnastique et des attaches en cuir et en corde pendaient de la barre transversale. J’ai tout de suite compris ce qui m’attendait. Deux caméras allaient tout enregistrer. Elles fonctionnaient déjà. « Tu piges ! La barre et les sangles, c’est pour que tu te tiennes tranquille, ma poule ! Je n’ai pas envie de te courir après partout dans c’te cave» Il a rigolé. J’en ai frémi. Il s’est installé dans un vieux fauteuil en cuir situé dans l’angle de cette pièce et m’a demandé de me mettre face à lui. Debout, en position, j’attendais ses ordres et surtout j’essayais de retrouver un peu de maîtrise. Il a pris tout son temps pour m’examiner, me déshabiller, me fouiller du regard. Les caméras ronronnaient. Mon cœur cognait dans ma poitrine. « Bon, maintenant, tu vas gentiment retirer ta jolie petite robe et tu fais ça bien ! D’accord ? Tu m’gardes juste tes bas, ton porte jarretelle et tes godasses de pouffiasse, tes bijoux ...
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