1. Un après-midi de détente


    Datte: 23/11/2018, Catégories: fh, couple, Oral fdanus, fsodo, init, fsodoh,

    ... l’index. Avec la main gauche, je commence à lui caresser doucement ses petites lèvres. Son souffle devient plus fort. La peur ? Avec ses pieds, elle commence à me masturber. Mon sexe est déjà au garde-à-vous et n’a pas besoin de stimulation supplémentaire, mais ça fait pas de mal. Son petit trou est maintenant paré pour me recevoir, je mets un peu de gel sur le préservatif qui est déjà lubrifié mais je ne souhaite pas qu’elle ait mal. Je place mon gland devant son entrée fripée et lui dit : — Prête ?— Si je te dis non, tu te retires ? Avec ma main droite, je pousse lentement mon sexe dans sa cavité. Le gland est un peu gros, mais je continue à le rentrer en la regardant tendrement. Une grimace apparaît sur son visage. Avec ma main gauche, je lui titille maintenant le clitoris. Elle mordille sa lèvre inférieure et continue de grimacer. On sent qu’elle est tiraillée entre douleur et plaisir. Mon gland est maintenant rentré. Mon sexe rentre lentement mais sûrement. Au moment où je passe ma main gauche sur son sein droit et ma main droite qui la remplace au titillement clitoridien, je me retrouve un peu court et pour attraper le sein qui s’échappe, mon corps part en avant et j’investis totalement ses reins. Elle lâche un râle de surprise. — Ça va ?— Ça, c’est fait, me répond elle.— Désolé…— Dommage, jusque-là c’était parfait. Je suis tiraillé entre fierté et déception. — Je rigole, c’était surprenant et pas si douloureux que ça. Toujours le chic pour me faire culpabiliser ! Je ...
    ... commence alors des va-et-vient. Dans mon for intérieur, je jubile : je suis dans son cul ! Ma main gauche titille son téton que je n’ai jamais senti aussi dur. Et pendant que je joue avec son clitoris, elle lâche des soupirs de plaisir, comme lorsque je la masturbe, sauf que là, je suis en elle en même temps. Son souffle s’accélère, je sens qu’elle vient, et j’augmente le rythme et la pression sur son petit bout de chair. Plus je vais vite, plus les petits cris de plaisir se rapprochent pour enfin la libérer. Son corps tremble mais elle a arrêté de soulever son corps, elle profite du moment. J’ai arrêté de bouger mon sexe et je garde juste ma main appuyée sur le sien. Je n’en reviens pas, elle a un peu mal, ça se voit sur son visage et pourtant elle a eu un des orgasmes les plus forts que je lui ai procurés depuis que nous sommes ensemble. Une ou deux minutes passent. — Tu peux te retirer, s’il te plait ? Un peu déçu car pas rassasié, je glisse en dehors de ses fesses. Elle en profite pour se lever, puis se met à quatre pattes sur le lit : — Allez, j’en veux encore ! me chuchote t elle. Je me place derrière elle et dirige mon sexe vers ses petites lèvres. — Tututut, tu continues là où tu as commencé. Bonheur et joie, le rêve, en levrette, je ne pouvais pas espérer mieux. Je remets un peu de gel sur son petit trou. — C’est vraiment froid ce truc, tu pourrais le réchauffer dans tes mains avant.— Je prends note pour la prochaine fois.— Rêve pas, bonhomme ! Il faut que je profite ...
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