1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1085)


    Datte: 23/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... punirais comme jamais tu n’as été punie, tu entends ? - Oui Maître, répondis-je, honteuse et penaude, ne comprenant toujours pas le pourquoi mais bien décidée à me rattraper. Je me replaçai sur la ligne de départ quand déjà penchée en avant Maître s’approcha de moi et me dis à l’oreille : - Tu l’as fait exprès, petite garce mais tu me le paieras ensuite. J’allais lui jurer que non, mais d’un geste très autoritaire, me fit signe de me préparer à repartir. Me voilà à nouveau sur la ligne de départ, torse légèrement penché en avant, les poings serrés, la rage au ventre, seins offerts à la vue des Invités… Top départ ! Je recommençais un second parcours de 1500 mètres, me demandant à nouveau ce qui avait cloché dans le final. - Concentre-toi Isabelle, me disais-je, concentre-toi ! Le premier tour se terminait, je regardais le Noble qui semblait un peu plus content… je me sentais mieux, plus sereine, ma foulée me semblait plus souple, moins résistante à l’effort, les mètres s’avalaient avec plus de régularité, et au deuxième passage, Maître leva son pouce me faisant signe que c’était parfait. - Continue ainsi, hurla-t-il afin que je l’entende, tandis que je passais devant le groupe. 800 mètres étaient avalés ! C’est fou ce que la ...
    ... psychologique peut faire à un athlète quand il sent que son effort plait, que ce qu’il fait est bon…. Je sentis tout de suite, un mieux-être m’envahir, une sorte de fierté à faire la joie des Invités qui me voyaient passer pour un second 1500 mètres, mais surtout, voyant Monsieur le Marquis satisfait. J’entamais le troisième tour confiante et bien plus en forme que les premiers 1500 mètres, j’en convenais moi-même. Je parlais à mes jambes, je parlais à mon corps, mes bras balançaient de façon plus souple, je me sentais aérienne, plus que tout à l’heure, je sentais mes muscles plus fluides et finalement je finissais ce troisième tour très facilement, pas du tout fatiguée, ayant gardé du « jus » en réserve, prête à exploser pour le final. Ainsi encouragée, plus je courais vite, plus je me sentis excitée ! Mes foulées s’accentuèrent et mon clitoris s’affolait, je le sentais s’ériger comme enivré par la performance de mes jambes ! Je sentis alors ma cyprine couler sur mes cuisses à chaque foulée ! On aurait dit une chienne en chaleur courant le mâle pour un accouplement impératif et primaire, bestial et instinctif que le rut imposerait… Alors excitée, je me disais : - Suis ton instinct, Isabelle… me disais-je… prenant tous les risques… (A suivre …) 
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