1. Soumis à ma belle-mère (4)


    Datte: 23/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Inceste / Tabou

    Je deviens son larbinNous continuions à faire souvent l'amour et je constatais le changement de comportement chez ma belle-mère. Pour la 1ère fois de sa vie, cette femme de 70 ans, classique et coincée, qui avait critiqué les strings de sa fille, mon ex-femme, avec des réflexions blessantes s'était mis à en porter. De même, lorsque nous partions en balade loin de nos conjoints, elle revêtait des leggings ou des jupes certes pas courtes, mais dans des matières sexy totalement nouvelles dans sa garde-robe. Elle acceptait les soutien-gorges redresse-seins et avait désormais un serre-taille noir qui lui allait à ravir. J'étais abasourdi par ces nouveautés. Au lit, après avoir retiré ses lunettes, elle devenait une vraie salope, aimant les mots orduriers, me demandant de la lécher le plus souvent possible y compris après son pipi, et jouant sans ménagement avec mes parties intimes de sa bouche et de ses mains. Nous avions mis en place des processus afin que je porte en permanence après elle ses culottes sales. Comme ma femme et moi faisions chambre à part, je pouvais discrètement les laver et les faire sécher dans ma penderie avant de les lui rendre.J'avais commencé à la prendre en photos de plus en plus dénudée, et je collectionnais sur mon ordinateur de tonnes de photos. Nous prenions des clichés de nous dans des poses pornographiques, des gros plans de mon sexe dans sa bouche, de moi attaché avec mes pinces aux seins ou bien léchant une de ses culottes, ou d'elle un martinet à ...
    ... la main. Pour me remercier, elle veillait à ce que je dispose en permanence de l'une de ses culottes, d'un collant et un soutien-gorge d'elle.Une belle-mère jalouseJe lui annonçai avoir reçu mon plug et ma cage de chasteté. Elle me demanda de les essayer puis de me tenir prêt pour le lendemain. En effet Béatrice invita trois amies de son âge pour un thé chez elle. J'y fus également convié, avec instruction de porter les deux joujoux reçus sous mes vêtements et de tout préparer: thé et pâtisseries. Le lendemain, en présence de mon beau-père relégué à lire un journal dans un coin, je m'occupai d'accueillir les amies de Béatrice et de tout préparer comme l'aurait fait un valet. Avant qu'elles n'arrivent, Béatrice avait juste toqué de son ongle le devant de mon pantalon afin de vérifier que l'objet était en place. J'agissais comme un homme courtois avec toutes ces dames, m'empressant de les servir et de poursuivre une conversation légère, excité par les joujoux que je sentais à tout instant devant et derrière.Lorsqu'elles partir, je m'attendais à des compliments de ma belle-mère. Alors que je rangeais tout dans sa cuisine, Béatrice m'interpella:"- dis-donc, Jean, j'ai bien vu que tu regardais Evelyne avec insistance. Elle te plaisait ? c'est parce que c'est une blondasse? tu aurais dû être plus discret surtout en ma présence. Je n'apprécie pas du tout" affirma-t-elle de sa voix aiguë et ferme, en même temps qu'elle me giflait une fois mais sèchement.J'étais décontenancé mais ravi ...
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