1. Les petits plats dans les grands


    Datte: 24/11/2018, Catégories: fh, 2couples, piscine, Collègues / Travail soubrette, pénétratio, hgode, hsodo, échange, Partouze / Groupe confession,

    ... sur son long et gros mandrin. Je le découvre d’ailleurs. Jusqu’à maintenant ce n’était qu’un sexe en érection, mais à l’aune de la capote la hampe me semble bien généreuse. Oui, je comprends. Le préservatif c’est pour que nous changions de partenaire. Oui bien sûr que je vais baiser sa femme, j’en ai envie, elle est si sensuelle et transpire le goût de sexe. Mais… cela veut dire que… Lise… Il va baiser ma femme… C’est normal… je suis d’accord… Mais elle… Lise… Je la regarde. Mon visage doit être particulièrement expressif. J’arrive à capter son regard. Ses paupières se ferment lentement pour me donner son accord et lorsqu’elle rouvre les yeux, j’y découvre une lueur trouble, de celle que je ne vois qu’en de rares occasions lorsqu’elle est très excitée ou que la jouissance arrive. Comme le vélo, on n’oublie jamais comment arracher l’emballage d’un préservatif et faire dérouler le latex lubrifié sur ma bite. Je confirme, Arnaud est mieux monté que moi. Mais j’ai à peine fini qu’il est déjà à ma place et que son sexe pénètre Lise. Le spectacle me sidère et me paralyse. Je n’avais jamais vraiment réfléchi à cette situation, mais c’est magnifique. Ce n’est pas possible, ils se connaissaient avant. Il la baise si bien, entrant et sortant avec force que Lise est aux anges. Ses jambes forment un V que son baiseur écarte encore plus, m’obligeant à reculer un peu. Sur la table, Armelle a bougé. Elle est maintenant tournée vers Lise et la caresse. Mieux elle s’accroupit pour pouvoir ...
    ... lui sucer les seins. Me voici spectateur de ce trio. D’aucuns pourraient croire que je suis exclu. Mais non, ils m’associent par les regards qu’ils me jettent de temps à autre. Lise surtout qui doit peut-être se sentir coupable de participer avec tant de plaisir. Mais comment pourrait-elle résister devant tant d’ardeur, associant la puissance du mâle à la délicatesse et au savoir-faire d’une femme. Je lui souris pour bien lui montrer combien j’aime la voir ainsi et que c’est un cadeau qu’elle me fait. On aurait dit qu’elle attendait mon pardon, car bientôt elle semble en transe. Une bite la baise. Une bouche lui suce un téton. Deux doigts lui tordent le second. Une main s’est glissée sur son pubis pour caresser son bouton qui doit être dans un drôle d’état. Quelques secondes. Une minute. Plus. Je ne sais pas, mais son plaisir semble ne jamais finir. De ses lèvres ne sort maintenant qu’un long grognement, plus proche de la bête que de l’humain. Et puis, c’est l’explosion. Une convulsion chasse Armelle et Lise se cambre comme un arc. Elle va se briser les reins. Mais non, brutalement elle retombe dans un soupir. Son visage est rayonnant. Elle ouvre les yeux. C’est le repos après la jouissance. Armelle reprend sa place. Ses cuisses s’ouvrent vers moi. Je bande comme un âne et ma queue entre merveilleusement. Je n’ai qu’une envie. Baiser, baiser, baiser. Je m’active et la bourre. À côté Lise semble sommeiller. Son amant l’abandonne et je découvre qu’il n’a pas joui, que son sexe a ...