Les petits plats dans les grands - Histoires de Sexe

Les petits plats dans les grands

... t’attendait en string et rien d’autre.— Tu brûles. Mais en bien plus érotique.— Allez, raconte.— En fait elle avait loué les services d’une cuisinière. Tu sais les gens qui viennent chez toi et qui s’occupent de tout.— Pas très romantique d’avoir quelqu’un sur le dos pour une soirée à deux.— Oh, que si. La cuisinière nous a fait à manger, c’était très bon.— Super bandant.— Attends. C’était une très belle femme, grande, blonde…— On s’en fout, une cuisinière, ce qui compte c’est ce qu’elle met dans l’assiette.— C’est vrai, mais Louise avait prévu un supplément. Donc si tu veux bien ne pas m’interrompre tout le temps, je vais te raconter.— D’accord, mais épargne-moi le menu.— Elle cuisinait, mais aussi servait à table. Au début, elle était habillée d’un grand tablier avec une robe noire qui la moulait bien. Et puis, quasiment à chaque fois qu’elle venait dans la salle à manger, elle changeait. D’abord elle a enlevé sa robe.— Quoi ?— Te voilà soudain intéressé. Oui, la robe. Puis le reste, porte-jarretelles, bas, soutien-gorge, slip. Au bout d’un moment, elle était à poil et il ne lui restait que son grand tablier qui lui cachait le devant.— Attends, attends. Ta femme t’a payé uneescort pour ton anniversaire. C’est dingue.— Non, pas une escort. On n’avait pas le droit de toucher. Pas dans le contrat. Juste une sorte de strip-tease à la maison. C’était super bandant. Inutile de te dire que j’étais très chaud. Plusieurs fois Louise a vérifié que je bandais. Mais le top du top cela ...

... a été pour le dessert ou la fille est venue avec juste un petit tablier qui ne lui cachait plus que le ventre et le haut des cuisses. Une poitrine de reine.— Ben mon salaud !— Comme tu dis. Je n’ai pas pu résister et j’ai basculé Louise sur le canapé et je l’ai prise sans préliminaires. La coquine, elle riait de sa mise en scène. Et tu sais, le plus chaud c’est que lorsque la fille est revenue et nous a découverts, je l’ai vue se cacher pour nous regarder et je crois bien aux mouvements qu’elle se caressait. Tu n’imagines pas combien c’était excitant.— Je comprends. Et après.— Après tout le monde a fait comme si rien ne s’était passé. Mais je peux te dire que c’est un anniversaire dont je me souviendrai.— J’imagine…— Si tu veux, je demanderai les coordonnées à Louise, mais je sais que la femme s’appelle Lise.— Oh que oui, mais moi je suis seul et si ce n’est pas une escort… Et les hommes repartent me laissant seul, perplexe, engourdi de rester si longtemps caché… Bien sûr en rentrant je n’ai qu’une idée en tête « Lise » et tout ce que cela implique. — Au fait, hier soir, la femme ne s’appelait pas Louise ?— Mais oui, comment tu le sais ?— Figure-toi que par le plus grand des hasards j’ai entendu son mari parler de sa soirée d’anniversaire. Cela ne te dit rien ?— Heu…— Je sais que c’est toi. Alors comment tu peux m’expliquer… De la cuisine à l’exhibition…— Mais c’est de ta faute… ou grâce à toi… Selon le point de vue où on se place.— Comment ? Moi ? Mais qu’est-ce que j’ai à ...