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Les petits plats dans les grands
Datte: 24/11/2018, Catégories: fh, 2couples, piscine, Collègues / Travail soubrette, pénétratio, hgode, hsodo, échange, Partouze / Groupe confession,
... et puis il se relève. Je comprends alors son intention. Elle est évidente. Il tient sa queue d’une main et de l’autre empoigne une fesse. Il se place. Il se positionne. J’imagine son dard effleurer la corolle. Je vois l’anneau s’ouvrir sous la poussée. L’homme est entre deux feux. La femme qu’il enfile et le mari qui lui prend le cul. Mais manifestement ce n’est pas un viol. L’homme ne fait que gémir alors que le dard s’enfonce dans ses entrailles et pour bientôt se retrouver couvert par son enculeur. Le trio n’est pas dans la configuration que j’avais envisagée en les voyants, la femme en sandwich, mais ce n’est pas plus mal. Notre hôte maintenant baise l’amant. Je sens une main qui passe entre mes cuisses. C’est Lise qui vérifie mon excitation. Un sourire. Il lui suffit de faire un pas et s’appuyer contre une chaise. Mon short n’est pas un obstacle. Ma verge passe facilement sur le côté. Je me glisse avec délice dans une chatte qui ruisselle, excitée certainement par ce qu’elle a vu avant et ce que nous avons sous les yeux maintenant. Le trio s’active. Je baise ma copine. Et si un homme passait derrière moi et copiait les amants pour me glisser sa grosse queue brûlante dans les fesses. J’envie l’amant enculé par le mari. Moi j’aimerais qu’on me prenne alors que je bourre Lise, ma douce Lise qui pourrait sentir la queue qui me pousserait un peu plus en elle. Mais ce n’est pas le cas. Pourtant cela m’excite encore plus. Ils baisent. Nous baisons. Quelques minutes ou nos ...
... regards ne quittent pas le trio. Quelques minutes où je laboure ma chérie qui se caresse le bouton. Nous jouissons en silence. Les autres s’activent encore. Nous partons discrètement. J’adore la vision de ma copine qui avance devant moi. Je vois clairement sa main aller ramasser ce qui coule de sa chatte. J’ai l’envie folle d’aller la baiser sur la table de la cuisine. Son petit cul m’attend. Elle enlève son petit tablier. Elle aussi a envie. — C’n’est pas le tout, mais il faut tout ranger. Elle enfile un short, un tee-shirt et son grand tablier bleu… Je ne connais rien de plus débandant. Il nous a fallu plus de deux heures. Lorsque tout est le monde est parti, j’ai eu le droit d’aller récupérer la vaisselle dehors. Si un moment j’avais eu l’intention de reprendre nos agapes après, c’est oublié dans la chambre. Lise s’effondre sans même se doucher. Moi j’en suis pas loin. C’est plus fatigant que l’on croit son métier. Le lendemain, nous savons que nous sommes les seuls occupants de la maison. Les proprios ont prévenu Lise qu’ils allaient voir de la famille et ne rentreraient que tard dans l’après-midi. Temps idéal pour glander. La piscine nous tend les bras. Comme il n’y a personne, nous nous baignons nus. La sieste est la bienvenue. Que c’est bon de ne rien faire. Le réveil est un enchantement. Lise me regarde. Je vois qu’elle a envie. Mais je me dis que je n’ai jamais fait l’amour dans une piscine, aussi je l’entraîne. Quelques brasses et déjà je bande. J’invite Lise à sauter ...