1. Connaissez-vous la véritable histoire des Princesses ???


    Datte: 07/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... Maîtresse. La journée commençait en cuisine, tous affairés à préparer les repas du jour, avec comme priorité, de concocter celui de la Princesse. Elle raffolait d’œufs à la coque, de lait fraîchement pris au pis de la vache, et qu'un marmiton faisait tiédir encore un peu. Il prit le plateau, y déposa le tout, ainsi qu'une brioche et de la confiture de framboises. Il monta en hâte, les marches, posa sur la plateau sur le guéridon, ouvrit de ses deux mains les larges portes, reprit le plateau, le posa sur la table de la suite, écarta les rideaux d'un geste lent et silencieux, se retourna et s'écria: "Sacrebleu, que m'a-t-elle encore fait aujourd'hui ?" Elle veut ma mort, pensa-t-il... Il sait le sort que lui réserverait le Prince s'il venait à arriver malheur à sa Belle, à son Cœur, à sa vie... Je finirais sans aucun doute écartelé par les quatre chevaux les plus puissants du Prince, mes membres serviraient à nourrir les cochons... Quel plus bel animal pour faire disparaître un corps qu'on ne veut plus jamais voir que ce puant porcidé dont le pléonasme m'échappera ? Du dernier bout de chair, d'os, de dent, il ne restera rien de moi, pas de sépulture ni de cérémonie, me voilà voué à l'enfer.. ... Je ne pris pas le temps de seller un cheval, un licol me suffirait bien.. Le cheval galopa vers le chemin qui sortait du domaine,e tje commença à m'interroger sur la piste qu'avait prise cette si belle peste, qui, têtue comme une mule, tenait tête à tout le monde au château, sauf à son ...
    ... Prince....enfin, pas en public. Je ne vois que la plage, lieu de notre dernière escapade en trio. C'est un endroit que la Princesse aimait depuis toujours, et se délectait de ces levers de soleil, face à la mer. Et voilà, j'avais raison ! Même si je ne voyais pas encore le cabanon, des gerbes de terres fouettées me donnaient la direction qu'avait pris cet étalon. Je descendis la dernière pente au galop et arriva sur la plage. Elle était là, allongée sur un drap de coton, offerte au soleil qui commençait à lui rougir la peau, inconsciente des dangers qui la guettent... Outre une exposition trop prolongée de son corps aux rayons solaires, elle aurait pu tomber de cheval pendant son galop, ou pire encore tomber sur une bande de malandrins qui auraient pu lui faire du mal... Mais elle était là, entière, intacte... Je ne serai donc pas écartelé...enfin, pas cette fois. Un sentiment s'empara de moi, mélangeant colère, de m'être encore fait berner par cette si belle jeune femme, et joie, de la voir là, nue, son corps détendu sur cette toile immaculée. "Vous m'avez fait ronger les sangs, je vais finir par mourir à cause de vous ! ", lui dis-je, ayant a peine posé le pied à terre. A l'époque ou le teint blanc était un gage de beauté, elle prenait malin plaisir à se faire brunir la peau, qui pour moi allait de concert avec sa noire chevelure. Pour toute réponse, je n'eu droit qu'à un petit sourire, qui me fit fondre instantanément... Je m'approchai de cette Princesse, m'agenouillai et ...
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