L4 L5
Datte: 24/11/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
... position assise n’est pas la meilleure et la plus confortable dans ma situation. Ils devraient mettre des lits plutôt que des chaises dans les salles d’attente des kinés ! Coincée entre une plante verte malade et la porte, je jette un œil sur quelques revues fatiguées et déchirées datant d’il y a deux ans. C’est tout moi ça, arriver une demi–heure en avance et poireauter assise, alors que c’est une véritable torture cette position en ce moment. Je prends mon mal en patience, dans tous les sens du terme. 14 heures 45, en plus, elle est en retard, Romane ! Je me tords dans toutes les positions sur ma chaise. Je me suis même levée pour faire quelques pas dans la salle d’attente. Ça m’a un peu soulagée. 14 heures 50, enfin, elle arrive. C’est un petit bout de fille d’environ trente ans, une petite brunette aux cheveux courts et au regard noisette pétillant. Un petit sourire en coin agrément encore plus son joli visage rond. - Mademoiselle Marsac ? Désolée pour l’attente, c’est votre tour. Elle a une jolie voix avec un très léger accent, plutôt de l’est de la France. Alsacienne Romane ? En tout cas, elle est très mignonne. Même si mon dos ne me pousse pas aux galipettes, j’en ferais bien mon quatre heures de la petite Romane, et l’heure du gouter approche. Je suis là pour qu’elle me soulage le dos, mais je n’aurais rien contre le fait qu’elle me soulage autre chose. Jolie silhouette en plus. Elle a un corps bien proportionné. Petite, mais bien proportionnée. Sa blouse blanche ...
... ouverte montre un chemisier gris perle, légèrement décolleté (peut être un bouton ouvert de trop), qui laisse deviner une belle poitrine. Une jupe noire découvre la moitié de ses cuisses et ses mollets, le tout mis en valeur par un voile noir. Pour finir, mon regard se porte sur de fines chevilles et de jolis petits pieds enfermés dans des chaussures noires à talons plats. - Vous me suivez ? me dit-elle en me tournant les talons et en me lançant son petit sourire ravageur. Et pour me ravager, il me ravage son sourire. J’en arrive même à oublier L4 et L5, qui se rappellent à mon souvenir lorsque je dois me lever de mon siège. Pour la suivre, je vais la suivre. Rien que la pensée de ses mains sur mon corps, même si c’est purement médical me transporte. Ah ses mains, je n’ai pas parlé de ses mains ! Pour elle, c’est un outil de travail les mains. Mais elles sont magnifiques, fines, avec de longs doigts, aucun bijou, pas de vernis. Elle doit enlever toutes ses bagues en arrivant à son cabinet. Je suis donc Romane, dans le couloir. De dos, sa blouse blanche m’empêche de profiter pleinement de la vue sur son postérieur. J’apprécie toutefois, le déhanchement à chacun de ses pas. Je me focalise sur le bas de ses cuisses et sur ses mollets biens galbés. Elle semble voler dans la couloir. Cette fille me fait baver, mais, bon, on n’est pas là pour ça. Thérapie avant tout ! Mais n’empêche que la vue de son petit cul m’a presque fait oublier la douleur. Psychologiquement, elle m’a a moitié ...