-
Rencontre avec un fou
Datte: 25/11/2018, Catégories: fh, hsoumis, cérébral, théatre,
... vos petons dont la grâce est profonde. — Faut-il vous corriger pour dompter vos folies Jamais vous ne pourrez accéder à mon lit. Rentrez chez vous, calmez votre esprit perturbé. Et si c’est nécessaire, allez vous masturber. Regardez un porno, videz vos testicules Si trop de libido à cela vous accule. Et s’il vous en faut plus louez donc les services D’une prostituée dans les quartiers du vice. Contribuez ainsi à ce commerce immonde Que l’on qualifie de plus vieux métier du monde. Apportez votre obole aux réseaux et trafics, Enrichissez encore ces mafieux horrifiques. — Oui si vous l’ordonnez je me caresserai Je le ferai tandis que je ne cesserai. Je penserai à vous dans les bras de celui Qui par beaucoup de chance, vous charme et vous séduit. Oui je vous imagine faisant l’amour ensemble. Il doit vous cajoler, cela vous plaît il semble. Vous l’aimez il vous aime, tandis que je suis seul, Traînant ma solitude, mélancolique et veule. Tandis que l’onanisme apaisera ma verge, Je prendrai des mouchoirs que les larmes aspergent. Celles-ci se lieront à la vaine semence Que je gardais pour vous malgré votre inclémence. Vous ne me fouettez pas mais c’est bien plus cruel : La torture morale et le supplice auquel Vous me soumettez là est un tourment barbare, Comme si vous plongiez dans ma chair un poignard. Vous ne m’avez pas même octroyé une gifle. Vous auriez décemment pu donner la mornifle Quand je présageais de défoncer votre cul : Cela de me frapper ne vous a convaincu. Vous ...
... auriez même pu me punir d’une fessée Que je mérite bien il faut le confesser. Vous me déculottez, humiliation publique Et claquez mon derrière d’un geste frénétique. — L’envie n’est pas pourtant ce qui me fait défaut. De placer un bon coup à l’endroit où il faut : Entre vos jambes pour refroidir vos ardeurs. Mais de ce combat vain vous sortiriez vainqueur. — Me jetant à genoux, gémissant de désir, Je baise vos orteils décidé à gésir. S’il le faut je serai prostré là jusqu’au soir, Attendant patiemment votre charmant vouloir. — Relevez-vous idiot vous êtes ridicule, Couché là dans les pas des passants qui circulent. Vous ai-je à ce point envoûté, subjugué Pour que vous restiez là comme ça à divaguer ? — Je voudrais vous poser une question brûlante : L’aire de votre pubis est-elle glabre ou grouillante De poils et de fourrure comme la soyeuse hermine Ou est-elle bien lisse comme celle d’une gamine ? — Vos questions indiscrètes pleines de perversité Commencent à m’ennuyer, pour votre curiosité : Je ne m’épile pas en cet intime endroit. Ma toison est touffue c’est mon choix et mon droit. — J’aimerais tellement une chose qui vienne De vous sans valeur qui un peu de vous retienne. Un poil pubien ou bien l’un de vos beaux cheveux Un vieux mouchoir fripé, imbibé et morveux. — Prenez dans la poubelle la serviette usagée. Elle devrait convenir au satyre enragé Qu’assurément vous êtes, et laissez-moi en paix. Branlez-vous bien avec, elle est de sang trempée. — Je ferai bon usage de ce très ...