1. Mon fils m'a fait cocu. (4)


    Datte: 25/11/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... bien et la cure préventive de Marie-Claude me semble inefficace. Je pense qu’il faudra répéter la médication. Marisette vient se mettre à côté de moi pour plus de facilité dans son approche libidineuse du mâle : - Le dessert, tu prévois de le prendre ici ou dans la chambre ? - Cela dépend ce que tu as envisagé comme dessert. - Ici, cela pourrait être un dessert à base de glace, dans la chambre, une belle figue brûlante arrosée à la cyprine. - Ça, c’est pour le dessert qui m’attend, mais pour toi, qu’as-tu prévu ? - Comme le fond de l’air frémit, je ne prévois pas un dessert glacé, mais aussi un brûlant, comme un bâton de berger fourré de sauce pruneaux, quoiqu’une belle banane royale1 me semblerait tout à fait convenable, pour autant qu’on ne me la splite pas. - Garçon, l’addition rapidement, j’ai une urgence, surtout que Marisette continuait son massage discrètement sous la table. Nous remontons dans nos quartiers et les vêtements volent dans la chambre et je réclame tout de suite mon dessert, vu qu’au niveau du slip, c’est déjà bien tendu. Marisette m’apparaît dans sa nudité intégrale, j’ai les yeux qui palpitent, pourquoi ai-je attendu si longtemps pour lui offrir des vacances communes, elle est parfaite, de jolis nichons en poire, un ventre plat, un charmant buisson cachant ce que je désire découvrir rapidement. On se jette sur le lit et je vois qu’elle a un regard fixe sur ma bite. Malicieusement je lui dis : - Tu en as peur ?, pas de problème elle ne va pas te manger. ...
    ... - Elle non, mais c’est moi qui vais la bouffer jusqu’à ce qu’elle me jette son jus. - Moi qui pensais que je pouvais avoir aussi mon dessert. - La nuit sera longue, laisse-moi tirer le premier jus et pour te refaire je te donnerai mon dessert. - Cependant, avant j’aimerais bien adorer tes très jolis seins qui m’appellent. On pourrait les appeler les poires belle Marisette. wuawkkzp C’est ainsi qu’après avoir échangé nos salives, je plonge vers sa jolie poitrine et comme un nouveau né, tout de suite, je prends les bourgeons dans ma bouche et biberonne comme un fou. - Tu ne vas pas réussir à me tirer du lait, mais c’est très agréable. - Il faut dire que si tu faisais la même chose de mon trayon, ce serait plutôt de la crème. Sur ce, elle se dégage de ma bouche vorace et à son tour, la sienne absorbe un bon bout de mon vit et commence la traite, (pas des blanches, ni des noires, cela fait un peu musique, des noires et des blanches) mais de la banane et à force elle réussit à faire transpirer mon bâton de berger, enfin transpirer, c’est bien pire. Elle est encore pire que Marie-Claude, plus affamée. Je ne résiste pas si longtemps à ce traitement barbare et alors qu’elle me presse les joyeuses, je déverse dans son gosier le trop plein de mes coucougnettes. Une fois ma prostate vidangée, que dis-je purgée, légèrement fatigué, je verse à côté de Marisette, c’est clair qu’elle n’a pas eu son compte et reste un peu frustrée de ne pas avoir eu son orgasme. Elle se met aussi sur de dos ...