13:55, A. m'attend
Datte: 25/11/2018,
Catégories:
fh,
hotel,
fsoumise,
hdomine,
pénétratio,
fsodo,
jouet,
jeu,
champagne,
sm,
yeuxbandés,
fouetfesse,
extraconj,
h+medical,
13:55 Si tout va bien, A. doit maintenant m’attendre, presque nue, dans la chambre 507. Je viens de rentrer dans l’hôtelMaison Albar Céline, rue du Pont-Neuf à Paris. J’aime cet hôtel. J’ai mis du temps à trouver le bon, l’hôtel idéal pour mes escapades libertines. À Paris, il y a de moins en moins d’hôtels qui réunissent encore les critères un peu particuliers que je recherche : – un hôtel 4 ou 5 étoiles ; – un grand lit, vous allez me dire, c’est relativement simple ; mais j’en veux un avec des montants pour pouvoir attacher mes amantes, et ça, c’est plus rare ; – et une baignoire ainsi qu’une douche à l’italienne : certaines femmes aiment la sensualité douce de deux corps enlacés dans la baignoire, quand d’autres apprécient beaucoup plus être prises violemment sous la douche ; – une piscine, un hammam, un jacuzzi, permettent de s’évader pour un temps de la chambre, de se ressourcer avant de mieux se replonger dans l’exaltation sensuelle du corps-à-corps ; – enfin, une excellente insonorisation, pour lui permettre de gémir, de crier, de s’oublier dans un total laisser-aller, mais aussi parce que je ne voudrais pas qu’au son de claques sonores, un voisin n’appelle la police. Donc, A. doit être là. Dans la chambre 507. Il y a une heure, je lui ai envoyé un SMS. Une carte magnétique l’attendrait, à l’énoncé de son prénom, à la réception de l’hôtel. Elle n’aurait qu’à monter dans la chambre, l’arranger selon ses souhaits puis se déshabiller pour ne garder que la belle lingerie ...
... et les escarpins que je lui ai demandé de mettre. Enfin se bander les yeux avec le foulard que j’ai préalablement disposé sur le lit et m’attendre, ainsi privée de la vue, à quatre pattes sur le lit. A. et moi sommes ce que l’on appelle des libertins, c’est à dire que "nous nous adonnons aux plaisirs charnels (voire à la sexualité de groupe) avec une liberté qui dépasse les limites de la morale conventionnelle." Et cette morale, nous nous en écartons encore plus, au-delà du pur libertinage, par notre attirance mutuelle pour les jeux de domination et soumission (D/s, vous noterez le D majuscule dominant et s minuscule soumis). En l’occurrence, ici, le dominant c’est moi, et A. trouve un véritable plaisir à être soumise. A. est mariée. Son mari connaît sa vie de libertine, mais n’y participe en aucune manière. Il sait qu’en lui permettant cet accroc à leur contrat de mariage, il lui offre l’espace de liberté, de laisser-aller dont elle a besoin. Et qu’après ses rencontres, elle lui revient toujours, femme amoureuse, mère attentive. En ce qui me concerne, mon épouse ne connaît pas cette vie parallèle, que je mène en dilettante. Patron de mon entreprise, père de famille nombreuse, je ne peux de toute manière pas m’évader aussi souvent que ma libido le souhaiterait. Alors je suis un libertin par intermittence, sans doute un peu méprisé par les adeptes du libertinage pur et dur, qui ne le conçoivent que partagé au sein du couple, ou mené en célibataire… Je n’en ai cure. Depuis que ...