1. Chronique - Cinquième partie


    Datte: 25/11/2018, Catégories: fh, grossexe, vacances, fête,

    ... et que tu te concentres sur ta conduite, et pour ce qui est du reste… eh bien, on attendra d’être arrivés Ouais, elle a raison, sinon, excitante comme elle est, je serais tenté de me livrer à des débordements peu compatibles avec la conduite d’une automobile sur autoroute. Des kilomètres, toujours, et puis, enfin, nous quittons l’autoroute pour rejoindre notre hôtel, lequel, à l’écart de toute agglomération, s’appelle, sans grande originalité, l’Auberge du Beaujolais. Beaucoup de monde, d’ailleurs, en ce jour de grands départs, anglais et néerlandais en majorité, si on s’en réfère aux plaques des voitures stationnées sur le parking. Changement de tenue pour Stéphanie, qui, pour le dîner, a passé une robe légère dans les tons orangés. L’ambiance est sympathique et conviviale, et le menu, sans être extraordinaire, est tout à fait conforme à la réputation de l‘établissement et bien sûr, accompagné d’un Beaujolais de la réserve du patron, qu’il nous sert lui-même à la table. On prend notre temps, on échafaude sans cesse de nouveaux projets pour la semaine à venir et la soirée est déjà bien avancée quand nous quittons la table pour s’offrir une petite balade en amoureux, main dans la main, dans les chemins des environs. Il fait bon, l’air est embaumé de senteurs agréables et indéfinissables qui incitent à la promenade et à la rêverie ; d’ailleurs, c’est-ce qu’on fait, on ne se parle pas, on profite, on est bien ; ma main glisse sur ses fesses, elle sourit ; des idées polissonnes ...
    ... me traversent l’esprit — Et si on se faisait un petit plaisir, là, au creux du chemin…— Hum, l’idée est séduisante, mais ce soir, je n’ai pas trop envie de me donner en spectacle.— En spectacle ? Pourquoi ? D’un léger signe de tête, elle m’invite à regarder de l’autre côté de la route ; effectivement, dans un champ, un type d’un certain âge, les mains dans les poches, ne nous quitte pas des yeux — Et je suis prête à parier que si on s’enfonce dans le chemin, il va venir voir ce que l’on y fait.— Ouais, tu as raison… Alors, on rentre ?— On rentre, crois-moi, nous serons mieux à l’hôtel, et de plus, j’ai vraiment très envie d’essayer la literie… Couchés sur le lit, entièrement nus et serrés l’un contre l’autre, je laisse Stéphanie prendre l’initiative ; et elle sait ce qu’elle veut, ma chérie ; elle me prend la main pour l’amener à hauteur de son sexe ; pas besoin de me faire un dessin, j’ai compris ; elle a envie de s’adonner à sa nouvelle fantaisie érotique : le fisting, c’est nouveau, sentir mes doigts dans sa chatte humide, les sucer ensuite, l’un après l’autre – sauf le pouce qui ne l’inspire pas trop – cela l’excite ! Faut voir comment ! surtout qu’elle fait cela avec délectation, ma chérie, bien comme il faut, avec gourmandise, en prenant son temps. Et ce soir, c’est deux que je lui glisse dans sa chatte adorée, et je sens que je vais bientôt passer à trois, et peut-être même toute la main, tant qu‘à faire, tant elle en raffole, surtout qu’elle aussi ne se gêne pas pour ...
«1234...12»