1. Première soirée avec Stef Partie 1


    Datte: 25/11/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... jusqu'à ses chevilles en exposant son énorme queue dont la légère toison pubienne était taillée à ras et ses grosses couilles dépilées et imberbes. J'étais juste à côté de lui et voir sa bite d'aussi près était hypnotisant. Il s'est rassis et s'est laissé aller en arrière pour s'appuyer ses les coudes. Sa queue reposait sur son ventre et commençait à gonfler sous le flux de son érection, le prépuce laissant peu à peu apparaître son gros gland rond. Après quelques secondes, elle était arrivée en pleine érection et reposait toujours sur son ventre, la pointe arrivant au-delà de son nombril. Elle était énorme. Mes yeux ne la quittaient plus. Il l'a saisie à la base pour la redresser et me laisser le loisir de la contempler. Après quelques secondes, il a commencé à se branler lentement et j'ai ouvert mon pantalon pour me branler moi aussi, sauf que je ne regardais pas le film mais les mouvements amples de sa main sur sa grosse queue. Après ce qui devait être deux ou trois minutes, l'herbe et l'alcool aidant, j'ai demandé quel effet ça faisait de branler une aussi grosse bite. Il a souri et m'a demandé si je voulais essayer. En appliquant son pouce sur sa base, il a redressé sa queue pour laisser la proposition en suspens. Il m'a fallu quelques secondes pour lâcher ma queue, m'approcher et tendre la main pour saisir son membre. La sensation était grisante, sa queue était épaisse, chaude et dure. Il a enlevé son pouce et m'a laissé le caresser en silence. Sans réfléchir, j'ai ...
    ... commencé à le masturber. Les mouvements de ma main se limitaient à branler sa base. Je la caressais en douceur tout en l'inclinant sous tous les angles afin de mieux l'admirer. Après un court moment, la télévision s'est éteinte. J'étais tellement absorbé par ce que je faisais que je ne l'avais pas vu prendre la télécommande. J'ai dû lâcher prise lorsqu'il s'est reculé dans le lit pour s'installer confortablement les jambes légèrement écartées, adossé contre ses oreillers et la tête de lit. Sa queue suivait le mouvement en tâchant de maintenir sa rigidité. J'ai enlevé mon pantalon et mon caleçon et je me suis approché pour m'installer à sa droite. En chemin, je n'ai pas pu résister à placer la main sur ses bourses rondes et fermes afin de les presser et de les masser. On aurait dit deux boules de pâte. Lorsque je suis arrivé à côté de lui, la main sur ses couilles, il avait éteint le plafonnier et allumé sa lampe de chevet. Tout se passait en silence et naturellement, je suivais irrésistiblement le mouvement, les mots étaient inutiles. Appuyé contre lui, la tête à hauteur de son épaule, j'ai lâché ses couilles pour recommencer à le branler. Sa queue était lourde et je prenais énormément de plaisir à la caresser. Je sentais des secousses provenir de la base lorsqu'il contractait son périnée. Je suis légèrement descendu dans le lit pour passer ma jambe droite au-dessus de la sienne, la tête appuyée sur son torse et il en a profité pour passer le bras derrière mon dos et poser la main ...
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