1. Claire, offerte à des inconnus (2)


    Datte: 27/11/2018, Catégories: Trash,

    Il ne me fallut pas très longtemps pour réaliser que cette soirée m’avait changée. J’étais plus amoureuse de Laurent que je ne l’avais jamais été et je me sentais enfin réellement femme. Je m’étais montrée capable de me comporter comme une trainée et même si je comprends que cela puisse surprendre je ressentais cela comme une fierté. Pour l’homme que j’aime j’étais capable de me muer en la dernière des salopes, je n’allais pas le crier sur les toits mais au fonds de moi, j’en étais très heureuse. Et puis ce n’était pas tout. Depuis la nuit du parking, dès que Laurent me touchait je m’embrasais littéralement. Au moindre baiser, à la moindre caresse j’étais immédiatement trempée et affamée de sexe. Il s’en rendait compte et profitait de moi quasi quotidiennement même s’il ne s’autorisait aucune des pratiques qu’il avait permis à d’autres de m’imposer. Il me prenait tendrement le plus souvent, parfois plus fermement mais toujours très classiquement. Qu’importe. Dans l’état ou j’étais je jouissais à chaque fois. Malgré cela il m’arrivait souvent de repenser à la soirée du parking, et lorsque mon mari s’absentais une nuit ou deux pour son travail je ne pouvais m’empêcher de me caresser en revivant ces moments dans mes songes. J’ose à peine le dire mais en me rappelant ce que j’avais vécu, il arrivait de plus en plus souvent que je me touche entre les fesses. J’avais pensé à m’acheter un sex-toy prévu pour cet usage mais je n’avais pas encore franchi le pas. Étrangement, c’était ...
    ... le souvenir des pénétrations anales qui me faisait le plus tourner la tête. Pourtant ce soir-là, même si j’avais joué la comédie et donné le change, cela ne m’avait pas donné de plaisir, loin de là. Les choses auraient pu continuer comme cela longtemps entre rêveries, caresses solitaires et tentatives infructueuses d’amener mon mari à me traiter comme il avait laissé d’autres hommes le faire. Mais ce ne fut pas le cas, mon destin était bien différent. Un dimanche matin du mois de mai, j’étais sur un transat au bord de notre piscine. Comme souvent je fermais les yeux en me remémorant mes sensations de cette nuit-là. Je me souvenais des premiers instants lorsque mon époux m’avait abandonnée à ces inconnus. Il me semblait de nouveau sentir le contact des mains qui s’étaient posées sur moi : d’abord la première, à plat sur mon ventre puis une autre sur ma cuisse droite et une troisième sur mon bras gauche. Ensuite deux doigts avaient glissé sous un de mes seins et un index plus timide avait effleuré ma bouche. Un instant après, un homme s’était plaqué contre mon dos, je me rappelais avoir ressenti un frisson en percevant son érection au travers du tissu qui nous séparait. Son souffle près de mon oreille avait tout dit de son désir de me souiller. A ces pensées, je fus prise d’une envie difficilement contrôlable de me caresser, ma main droite posée négligemment sur ma hanche était dangereusement proche de l’élastique de ma culotte. J’aurais à peine eu besoin de bouger pour que mes ...
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