1. « Moi, Julien… » SAISON 3 EPISODE 3 : Retour vers le futur 2, suite des aventures avec Benoit et François


    Datte: 27/11/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... Benoit je le voyais pratiquement tous les week-ends. Après cette première fois ils nous arrivaient souvent de faire des trucs ensemble. Mais comme je n’avais pas d’appart et lui non plus, et bien on le faisait là on pouvait. Avec lui j’ai connu les pelles, les branlettes et les pipes dans pratiquement tous les endroits possibles et imaginables. Dans la rue, sous une porte cochère, dans un cinéma, dans des toilettes de boites de nuit, dans une voiture à l’arrêt, et même dans une voiture en mouvement d’ailleurs, dans le métro on s’est branlé, dans un bois en pleine nuit, sur le banc d’un parc, dans la cabine d’un sex shop pendant qu’on regardait une vidéo porno, dans le couloir d’un immeuble à 3 heures du mat, dans l’escalier du même immeuble, et dans un ascenseur aussi. Et souvent je finissais par jouir dans sa bouche. Ou alors c’était lui qui jouissait dans la mienne, ça dépendait. Et puis un jour Benoit m’avait avoué que François lui parlait de temps en temps de l’un de ses fantasmes : il voulait être soumis à deux mecs dans une cuisine. Pourquoi la cuisine me diras-tu ? Je ne sais pas. Et puis un fantasme, ça ne se discute pas, c’est comme ça. Du coup avec Benoit nous avions préparé un joli traquenard. Un week-end où mon frère était absent, nous avions demandé à François de venir dans l’appartement de mon frère. C‘était un tout petit deux pièces en enfilade dans un petit immeuble au fond de la cour d’un immeuble bourgeois à côté de Passy. La cuisine était en second jour ...
    ... de la première pièce. Sous un quelconque prétexte dont je ne me souviens plus, Benoit avait appelé François à l’aide dans la cuisine. Il était convenu avec Benoit que j’attendrais 5 minutes avant de les rejoindre silencieusement. Et c’est ce que j’ai fait. Je suis arrivé à pas feutrés. Benoit était debout, le pantalon entrouvert, et François à genoux devant lui. Les mouvements de sa tête ne laissaient aucun doute. Benoit m’a fait un petit signe de la main. Je me suis rapproché en ouvrant ma braguette et j’ai sorti ma queue. Je bandais déjà. Je l’ai placée d’autorité devant le visage de François. Et d’une main ferme sur sa tête, je l’ai orientée vers moi pour enfourner au chaud ma bite. Tu imagines le tableau ? » J’entendais les soupirs de Simon au téléphone. Je lui ai demandé : « Mais t’es en train de te branler ? ». Il m’a fait « oui, continue, tu m’excites ». Machinalement j’ai passé ma main sous ma couette pour la poser sur mon boxer moulant. Ma bite était dure comme du bois et mon gland voulait s’échapper de l’élastique. J’ai repris mon récit. « Français était plutôt bon pour sucer les mecs. Et là on sentait qu’il s’appliquait. Il alternait entre la queue de Benoit et la mienne tout en nous branlant en même temps. Parfois même il approchait nos deux glands jusqu’à ce qu’ils se touchent et ils tentaient de les avaler en ouvrant grand sa bouche. On le traiter de petite salope et on lui baisait la bouche à tour de rôle. Et puis Benoit est passé à l’action. Il a placé un ...