1. Oncle Robert (6)


    Datte: 28/11/2018, Catégories: Gay

    ... bas-ventre. Je les suçai à tour de rôle en mettant toute mon énergie si bien que quelques secondes de plus suffirent à les faire jouir tous les deux. Leur gland luisant de ma salive, ils me projetèrent des filets de sperme sur le visage et dans les yeux. Derrière moi, je sentis enfin les poils pubiens toucher la peau de mes fesses. J’avais la même sensation que quand Eric m’avait sodomisé pour la première fois. Comme si un centimètre en plus dans mon cul aurait pu me faire exploser. Mais contrairement à l’ami de mon oncle, celui qui s’occupait de mon trou ne semblait pas disposé à attendre que je m’habitue à cette intrusion. Il commença directement à me ramoner le derrière, ses couilles s’entrechoquant contre les miennes. J’étais secoué dans tous les sens. Même le sexe que j’avais en bouche avait du mal à rester plus de quelques secondes en moi. Les grognements gutturaux du gaillard résonnaient dans toute la cave ainsi que mes pauvres gémissements. Malgré le fait qu’il était littéralement en train de me casser le cul, j’éprouvais beaucoup de plaisir à me faire baiser ainsi. Cela avait quelque chose d’animal voire bestial. J’avais l’impression d’être une chienne qui se faisait saillir par une meute de chiens assoiffés de sexe. Je ne savais pas où donner de la tête, au sens propre comme au sens figuré. J’étais toujours en levrette, en train de me faire sodomiser sauvagement. L’homme devant moi avait définitivement abandonné l’idée de se faire sucer. Il rejoignit les autres ...
    ... qui formaient toujours un cercle autour de moi, se masturbant ou se caressant allègrement le sexe, excités par la vue que nous leur offrions, mon amant et moi. Celui-ci prit d’ailleurs l’initiative de placer mes mains dans mon dos, de sorte que ma tête soit écrasée contre le matelas. Ainsi, j’arrivai à me cambrer au maximum, ce qui lui permit de me pénétrer encore plus profondément. Certains applaudirent cette idée tandis que d’autres se concentrèrent pour ne pas jouir tout de suite. Après ce qui me parut durer une éternité, je sentis mon assaillant commencer à faiblir. Ses coups de reins devenaient plus lents et je l’entendais souffler comme un bœuf. Des gouttes de sueur tombaient dans le creux de mon dos, se mélangeant au sperme qui séchait peu à peu. Il sortit son sexe en me jetant sur le matelas, comme on jetterait une capote remplie par terre, et s’avança vers moi. Je me mis à genoux tant bien que mal, épuisé après cet ébat, et tendis la langue. Il se masturba encore quelques secondes avant de déposer quelques perles de semence sur ma langue tendue. J’entendis quelques ricanements autour de moi, suite à cette éjaculation peu glorieuse. Je devais avouer que j’étais moi-même un peu déçu par celle-ci mais j’avais déjà eu largement ma dose de sperme pendant ces deux semaines et je n’allais sûrement me plaindre. Je vis la montagne de muscles prendre ses affaires et sortir de la pièce. J’eus quelques secondes de répit après cette baise intense. Les garçons autour de moi me ...
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