1. Le nouveau Mâle dominant (2)


    Datte: 08/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... peux pas me faire ça ! Elle le fusille du regard et lui rétorque : — Tu peux te taper toutes ces poufiasses et moi je n’en aurais pas le droit ? C’est ça que tu appelle la liberté sexuelle ? A toi tout est permis et moi, ceinture ! Eh bien non ! Je vais accepter son offre et profiter de cette belle bite de vrai mâle ! Je n’en ai jamais connu de pareil! Sans attendre sa réaction, elle se retourne vers mon frère Claude et chevauche son corps. Il prend sa verge à deux mains pour la dresser à la verticale. Nous attendons tous et toutes ce moment fatidique, les yeux bloqués sur le sexe monstrueux, espérant enfin le voir écarteler les chairs de Sylvie. Elle soulève son bassin et lentement fait coulisser la queue plusieurs fois entre les grandes lèvres dégoulinantes decyprine gluante. Huilant au maximum le mandrin qui va dans un instant pourfendre cette fragile intimité. Tous les regards convergent vers le gros gland violacé de l’impressionnante bite qui déjà se présente à l’entré du vagin. Il va déchirer les chairs tendres de Sylvie. Ils attendent tous le fabuleux moment où lentement elle s’empalera sur le cep noueux. Le membre pointé sur l’entrée du vagin commence son intromission, doucement mais sûrement il écarte les chairs, distend les grandes et petites lèvres de cette délicatepetite chatte pour s’engouffrer dans les entrailles de Sylvie. Centimètre par centimètre, il prend possession des lieux, la colonne de chair s’engouffre entre les fragiles muqueuses et glisse vers les ...
    ... ovaires, déformant sérieusement les formes de la vulve offerte. Pas un son ne sort des bouches des voyeurs tellement ils et elles sont concentrés sur la délicate pénétration. D’abord effrayés d’un tel acte sexuel, puis épatés et enfin jaloux et rêvant d’une telle virilité pour les garçons ou impatientes et presque jalouses pour les filles ne pas être à la place de Sylvie. Elle reste un instant sans bouger, persuadée que la lance l’a transpercée de part en part, que son vagin a éclaté comme du caoutchouc sec sous la poussée sauvage de cette colonne de béton armé. Les filles ont le ventre en feu à la vue de ce gigantesque pieu écartelant la petite chatte de Sylvie. Avec d’infinies précautions, Sylvie s’empale complètement par de lents va-et-vient mais son sexe n’a pu absorber complètement l’énorme verge de mon frère. Plus de dix centimètres n’ont pas droit à la visite de la caverne étroite. Le sexe de Sylvie est complètement distendu par le pal qui la pénètre, heureusement que Paul était passé par là avant en éclaireur. Elle monte et descend avec une infinie lenteur, se mordant la lèvre inférieure, les yeux révulsés sous le regard de Paul, sidéré que sa copine puisse prendre du plaisir sur un tel pic, la colère déforme ses traits. Il la traite de tous les noms. -Espèce de salope, trainée, arrête ça, salle pute ! Sylvie s’en fou, devenue sourde, beaucoup trop occupée à défricher son jardin secret avec ce plantoir XXL ! Tout le monde regarde la scène. L’amazone chevauchant l’étalon ...