1. Ma femme me trompe


    Datte: 29/11/2018, Catégories: fh, fhhh, extracon, Collègues / Travail danser, Oral 69, extraconj,

    ... accueillis par le président que ma femme n’avait jamais vu. Elle s’étonna : alors qu’elle imaginait rencontrer un vieux bedonnant, elle se trouvait en présence d’un bel homme d’une cinquantaine d’années, élancé, musclé, aux yeux vifs qui s’attardèrent sur sa silhouette. Dans un grand sourire, il lui tendit la main qu’il garda un moment et la complimenta sur sa beauté. Matinée de travail. Déjeuner décontracté. Après-midi libre, mais le président les invita à un dîner-dansant le soir. Jacques (son directeur) demanda à ma femme si elle avait prévu une robe de soirée. Sur sa réponse négative, il lui proposa d’aller en acheter une en ville, aux frais de la société. Ils se rendirent donc dans un magasin de haute couture du centre-ville. Jacques lui proposa plusieurs modèles qui avaient tous un point commun : un maximum de peau visible ! Il lui expliqua que le président aimait les femmes sexy et que lui plaire pouvait aider à la signature du contrat. Finalement, devant l’insistance de son patron, elle se décida pour une robe longue rouge, fendue des deux côtés jusqu’à la hanche et retenue par deux bretelles étroites qui étaient attachées dans le cou. Il était évidemment impossible de porter un soutien-gorge ! À leur arrivée au club, le président complimenta ma femme qui était la reine de la soirée, dit-il. Le buffet était copieux, les vins délicieux et ma femme en but quelques verres. Elle était entourée par des hommes chaque fois qu’elle se rendait au buffet… Elle ne réalisait ...
    ... pas qu’en se penchant les bretelles de sa robe se détendaient et, de côté, on pouvait voir distinctement ses seins et ses tétons. Elle accepta de danser avec quelques collaborateurs du président qui étaient avec leurs épouses et qui se tenaient bien. Le président dansa quelques fois avec elle, mais il prenait à chaque fois quelques libertés : après avoir caressé son dos, ses mains se rapprochaient dangereusement de ses bretelles. Elle demanda discrètement à Jacques d’être son chevalier-servant. Elle avait bu beaucoup et devait parfois se raccrocher à son cavalier qui la serrait de plus en plus contre lui. Il glissa la main sous la bretelle de sa robe. Elle le repoussa, surprise. Il revint à la charge, caressa ses joues, ses épaules. Elle se sentait bien, une douce chaleur l’envahissait. Quand une main reprit son sein, elle ne réagit plus. Les doigts trituraient maintenant son téton. Elle ne put retenir un profond gémissement. Quand la bouche de son directeur effleura la sienne, elle ne s’écarta pas. Elle se laissait aller contre son épaule pendant qu’il excitait ses seins. Elle sentit que son slip était trempé. La tête lui tournait, elle demanda à son cavalier de la ramener à l’hôtel. Après s’être excusés auprès du président, ils partirent. Leurs chambres étant voisines, il accompagna Agnès jusqu’à sa porte, lui souhaita bonne nuit et déposa un baiser sur sa joue, très près de sa bouche. Elle chercha sa clé, ne réussit pas à l’introduire dans la serrure. Jacques proposa de ...