Quand il y en a pour deux...
Datte: 29/11/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... sécurité. Il nous avoua d'ailleurs avoir vu mourir deux de ses amis, ce qui l'avait définitivement guéri des plans sans lendemain. Il se disait sain et très désireux de le rester. Joli garçon par ailleurs, un beau blond aux yeux bleus pour qui je ne tardais pas à éprouver un certain désir. Il ne se passa rien d'autre ce soir-là qu'un dîner entre amis, mais j'avais fait promettre à Jonathan de repasser nous voir quand l'envie le prendrait, ce qui n'a pas demandé beaucoup plus qu'une semaine. Quand Jonathan est revenu à la maison, hier, il tenait sa valise d'une main et un énorme gâteau plein de fruits confits de l'autre. J'avais complètement zappé mon propre anniversaire, mais Guillaume avait eu la délicatesse de demander à Jonathan de s'en occuper. Mes enfants, quelle soirée d'anniversaire j'ai passé! Il n'y a pas que sur les bougies que j'ai soufflé! J'avais maintenant à ma disposition deux superbes membres virils et je pouvait à loisir passer de l'un à l'autre. Mais la plus grande surprise de la nuit fut la réaction de Guillaume quand Jonathan s'est s'intéressé à son petit trou. Avec moi, il ne tolérait même pas que je le titille par derrière avec un doigt coquin pendant que je le suçais par devant. Son anus m'avait toujours été inaccessible, à moi qui aurais tant aimé y jouer de la langue et des doigts, à défaut d'autre chose. Pire, si Guillaume eût un hoquet de surprise quand Jonathan s'est enfoncé en lui, il n'a pas semblé avoir mal comme n'importe quel homme aurait dû ...
... pour une première effraction. La vérité sautait aux yeux: ce n'était pas la première fois que Jonathan prenait Guillaume, qui semblait aux anges. A quatre pattes, la croupe en l'air comme une femme offerte, la bouche mi-ouverte et les yeux perdus dans le vague, il se cambrait et tendait son adorable cul imberbe à son doux torsionnaire. Ses reins ondulaient, ses jolies couilles bien pendantes se balançaient au rythme de la sodomie et sa respiration se faisait rauque. Il me faisait trop penser à ma femme au temps de sa splendeur, quand nous étions encore si amoureux l'un de l'autre que nous faisons l'amour comme des bêtes. Bien sûr, c'était maintenant évident, Guillaume et Jonathan n'étaient pas en train de baiser comme deux mâles qui cherchent à prendre du bon temps. Ils étaient en train de faire l'amour, sous mes yeux. Guillaume donnait le spectacle d'une biche amoureuse, grande ouverte et offerte aux assauts d'un cerf tout aussi absorbé par sa course au plaisir de l'autre. Le spectacle était si intense et si beau à la fois que j'en ai oublié de soulager mon propre sexe, douloureux au possible de la tension et de l'excitation que me procurait le tableau. J'ai su que mon règne était terminé quand l'édifice formé par Guillaume et Jonathan s'est effondré sur le lit, dans un concert de râles et de gémissements. Ils allaient s'endormir ainsi, encore partiellement emboîtés l'un dans l'autre. Le sperme de Jonathan, libéré par la détumescence de son sexe, commençait à fuir de l'anus ...