Maison d'hôte à la montagne (5)
Datte: 08/08/2017,
Catégories:
Trash,
Une nouvelle fois, je me suis laissé aller, j’ai fait l’amour avec les deux frères au bord de la rivière pendant qu’Olivier mon époux était en train de faire la sieste. J’ai découvert la double pénétration, c’était exceptionnel en terme de sensation, ça sera à n’en pas douter à refaire, et plus longtemps, car effectivement si mon époux s’était réveillé, j’aurais été dans de beaux draps. Bref, il est dix-neuf heures, nous arrivons à la maison d’hôte après une ballade à cheval que je ne suis pas prête d’oublier. Je me douche rapidement avec Olivier, puis nous descendons dans la salle à manger afin de dîner avec la famille. Nous discutons de tout et de rien, j’apprends que pour la ballade dans les villes de Saint-Jean-de-Luz, Biarritz et Bayonne les deux frères seront absents, car ils doivent s’occuper de leur troupeau de brebis. Intérieurement, je me dis tant mieux, au moins je pourrais être plus sereine avec Olivier, du moins, je ne serais pas tenté, c’est le mot le plus juste. Ça sera leur père qui nous fera la visite. Le repas se déroule tranquillement.Nous discutons de tout et de rien, j’apprends que pour la ballade dans les villes de Saint-Jean-de-Luz, Biarritz et Bayonne les deux frères seront absents, car ils doivent s’occuper de leur troupeau de brebis. Je bavarde un peu avec mon époux, puis nous nous endormons. Quand soudain, la soif fait de nouveau son apparition, décidément, je vais finir par croire qu’il y a une épice spéciale dans mon assiette qui me cause cette ...
... sensation. Et qui serait mise par l’un des frères afin que je descende à la même heure pour me désaltérer et ensuite profiter de mon corps. Le jeu en vaut bien la chandelle, c’est sûr puisque j’ai découvert des plaisirs différents, mais tout de même, ça ressemble à un petit piège assez vicieux. Bref, j’arrête de faire la fille suspicieuse, puis je pars en direction de la cuisine. J’ai pris tout de même le soin de mettre un string avant de dormir afin d’avoir une barrière de protection supplémentaire. C’est disons-le plus pour la conscience qu’autre chose. Je suis devant le réfrigérateur, ouvre la porte, prend une bouteille d’eau puis bois. Je me retourne, et à ma grande surprise, il n’y a personne. Maintenant, que les deux frères ont eu leur partie de jambes en l’air, auraient-ils décidé de me laisser tranquille ? Mystère. Je reprends donc le chemin de ma chambre, éteint la lumière, puis soudain, je suis saisie par le bras. Je crie de peur, une main se pose sur ma bouche. J’essaye de me calmer, d’être confiante, mais je ne sais pas où je vais. Je suis entraîné dehors, une grande porte en bois est ouverte, puis on me pose dans ce qui ressemble à de la paille. Deux chandelles s’allument, et je vois clairement le père de famille face à moi. Pierre a la cinquantaine, il est un peu bedonnant, il est très loin du côté sexy qu’ont ses fils et donc pas attirant pour un sou. Je lui demande alors pourquoi il m’a entraîné jusqu’ici. Il me dit qu’il m’a vu l’autre soir sur le balcon avec ...