1. Les péripéties d'une baignoire


    Datte: 29/11/2018, Catégories: ff, jeunes, couple, grosseins, douche, amour, massage, Oral humour, amourpass, Lesbienne

    ... divise en deux catégories. Celles qui demandent grâce et celles qui demandent plus. Moi, je demande plus. Avec son adorable rire complice, elle se redresse pour m’aider à enlever sa culotte de coton que je lance en boule dans l’appartement. J’embrasse ses cuisses, sa chatte, lèche son pubis. Le goût exquis de sa peau fraîchement lavée s’accompagne de picotements sur ma langue lorsque celle-ci fourrage dans sa toison intime. Mes mains se glissent sous son tee-shirt et caressent son ventre, remontent sur ses seins qu’elles pétrissent. Ses soupirs commencent déjà à se muer en gémissements, ses gémissements en cris. Je m’active, je caresse, j’embrasse, je pelote, je lèche alors que les coups de feu retentissent dans mon dos et que Clint lâche ses mortelles répliques de beau ténébreux asocial. Ma langue explore des recoins déjà connus, d’autres où elle ne s’était pas encore aventurée, pour faire durer le plaisir, et puis soudain Mélissa jouit, hurle et se déchaîne, chante et appelle à l’aide. Elle s’effondre sur la banquette et je viens me blottir contre elle. Le film se poursuit dans les fusillades et les phrases choc, et nous nous câlinons avec plaisir. Mais nous sommes dérangées par quelqu’un qui tambourine à la porte. Diantre ! La vieille d’en dessous s’est décidée à monter. Je soupire. Au bout d’une minute, je dis à ma Mel : — C’est tes cris qui l’ont dérangée, alors c’est toi qui t’en occupes. Mélissa se lève en râlant et va enfiler sa culotte pour être à peu près ...
    ... présentable avant d’aller ouvrir la porte. La voix qui s’élève me semble alors bien jeune. — Vous avez pas fini de hurler ? C’est insupportable ! Vous pouvez pas faire ça en silence, ou donner des somnifères à votre mec, qu’on ait la paix, un peu ? Vous faites ça combien de fois par jour, à la fin ? Moi qui m’attendais à une vieille grenouille de bénitier ! Cette emmerdeuse n’a même pas la décence d’avoir la quarantaine ! Mel paraît surprise, elle aussi, et ça l’empêche de répondre. — Je commence à en avoir marre ! Vous avez aucun respect pour les autres ? On dirait que vous passez vos journées à vous envoyer en l’air ! Alors vous allez vous calmer un peu ou la prochaine fois, votre mec je vais lui couper la… Aïe, Mel n’a pas encore réussi à en placer une, elle va jamais pouvoir répondre, il faut que j’intervienne. Je prends ma voix la plus innocente possible et demande : — C’est qui, Mel ? J’enfile rapidement mon pull-over qui traîne juste à côté et m’approche alors qu’elle répond timidement : — C’est la voisine du dessous, elle vient se plaindre du bruit. Je viens me placer à côté d’elle et voit enfin la fameuse voisine. Elle n’est pas du tout vieille. Vingt-huit ans, tout au plus. Des cheveux bruns coupés à la nuque. Un beau visage. Des yeux marron. Des lèvres pleines. Un corps que je devine athlétique et une poitrine arrogante, bien que plus petite que la mienne. Elle porte un jean et un tee-shirt. Et elle n’a pas l’air contente. — Eh bien, je vois qu’on s’embête pas, ici ! Vous ...