-
Rencontre sur la plage.
Datte: 01/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... dernière fois où nous sommes allés dans l’eau, nous avons joué ensemble une sorte de danse de séduction faite de mouvements enveloppants, de frôlements sous l’eau, de projections d’éclaboussures. C’était très érotique. Lorsque nous sommes sortis de l’eau, j’avais bien du mal à dissimuler une belle érection, signe de mon désir pour Carole qui, voyant mon état me dit en éclatant de rire : • Alors coquin, on a envie de me baiser ? • Pourquoi dire NON puisque c’est vrai… Dès que je t’ai vue, j’ai eu envie de toi ! Se collant contre mon corps, nos lèvres se sont unies dans une série de baisers fougueux et nous nous sommes écroulés enlacés, à moitié dans l’eau. Carole a écarté ses jambes et d’une seule poussée j’ai introduit ma queue dans sa chatte brûlante et humide de désir. Je voulais profiter au maximum de cette étreinte et c’est sans nous précipiter que nous avons accordé nos mouvements. Des vaguelettes venaient nous lécher les jambes jusqu’au bassin. C’était bon de baiser dans l’eau comme nous le faisions. Sans nous désunir, nous roulions l’un sur l’autre. Quand Carole était sur moi, elle relevait son buste et je voyais danser devant moi ses jolis seins. Je ne résistais pas à l’envie de les caresser, de titiller les bouts de ma langue en les aspirant pour le ...
... faire sortir encore plus et les mordiller. Le sel de la mer donnait encore plus de saveur à nos baisers. J’étais en elle depuis de longues minutes sans débander tellement sa gaine intime était chaude. Elle ondulait du bassin, elle avait envie de jouir. J’ai repris mes mouvements de va-et-vient et notre jouissance arriva bientôt, violente et dévastatrice. Je me suis écroulé sur Carole qui était tout aussi essoufflée que moi. Notre étreinte avait été tellement spontanée que nous n’avions pas pris le temps de nous protéger… Au bout de quelques minutes, nous sommes retournés dans l’eau où nous avons continué de nous enlacer et d’échanger des baisers fous. De retour à nos nattes respectives, nous les avons rapprochées. Nous nous sommes allongés, enlacés à nouveau. La torpeur de la journée au soleil et de cette baise humide nous a conduits à une brève sieste (ce n’était plus l’heure). Vers 19 heures Carole me dit : • Je dois te quitter mais je reviens demain. Jusqu’au vendredi nous avons fait l’amour tous les jours plusieurs fois et cette semaine qui devait être du repos, ne l’a guère été. Mais je ne m’en plains pas, alors que je n’envisageais même pas de me livrer au naturisme, j’ai passé cette semaine dans la nudité intégrale… sans être dérangé par qui que ce soit !