1. La première fois


    Datte: 21/06/2017, Catégories: ff, ffh, jeunes, vacances, piscine, Lesbienne fbi,

    ... Elle est déjà en train de baisser sa culotte. Comme je ne veux pas jouer les chochottes, j’ôte moi aussi mon slip de bain en lui tournant le dos : un reste de pudeur sans doute. Quand je me tourne, elle est face à moi totalement nue à quelques pas. Je peux l’envisager ainsi intégralement, tandis qu’elle ne se prive pas d’en faire de même en regardant mon corps. — Si j’étais un mec, je dirais que t’es vachement bandante, me dit-elle, avant de poursuivre, sauf peut-être que tu ne te rases pas le sexe. Je constate alors qu’elle n’a plus aucun poil au niveau du pubis alors que ma chatte n’a subi qu’une « épilation maillot ». Elle retourne se coucher sur le transat en s’arrangeant pour ouvrir largement ses jambes, exhibant ainsi son intimité à mon regard. Je suis troublée d’être nue là, près de cette piscine, avec cette fille tout aussi nue que moi qui me fait des avances en me félicitant pour ma beauté. Et ce sexe glabre n’est pas fait pour me rasséréner. Au contraire, il m’intrigue, je la trouve ainsi plus nue que nue et j’ai du mal à le quitter des yeux. — Tu regardes ma chatte sans poil, me dit-elle sans aucune gêne. Tu sais, c’est extrêmement agréable et c’est très doux pour les caresses… Tu veux toucher… Allez, viens toucher, tu pourras constater par toi-même. Presque malgré moi, je m’approche de son transat et appose le bout de mes doigts sur son bas-ventre. Elle me prend le poignet pour que je la caresse doucement, juste au-dessus de son sexe légèrement entrouvert. Le ...
    ... trouble qui m’envahit est décuplé lorsqu’avec son autre main, elle prend un de mes seins et commence à le malaxer. Je mets quelques instants à reprendre mes esprits et m’extraire de ce piège qu’elle m’a tendu. Pour toute excuse, elle dit : — Ton sein était si près, et il paraissait si doux que ne n’ai pas pu résister. Non seulement ils sont beaux, mais en plus ils sont doux au toucher.— Anne-Lise, je préfère que nous remettions nos culottes, je ne me sens pas à mon aise.— Ok, comme tu voudras. Le reste de l’après-midi se passa ainsi sur la terrasse avec quelques plongeons dans la piscine. Mon amie resta beaucoup plus sage et ne m’assaillit plus de ses flatteries sur mon physique. Elle avait sans doute senti qu’elle me mettait mal à l’aise. Le soir venu, je passe dans la salle de bains, histoire de me faire une petite toilette. J’enlève mes vêtements et m’enroule dans une serviette pour regagner notre chambre commune. Arrivée devant le lit, je défais la serviette et prends ma chemise de nuit. Je tourne le dos à Anne-lise, mais je suis persuadée qu’elle me regarde, tant et si bien que je m’y prends mal, n’arrivant pas à enfiler correctement et naturellement ma chemise. Sans que je m’en aperçoive, elle s’est levée et se serre contre mon dos : — Pourquoi mettre une chemise, nous serons bien mieux nues, ma chérie. Sans que je réagisse, elle a un de mes seins dans la main et me plaque contre elle par une pression sur mon ventre. D’ailleurs je reste tétanisée, ne sachant quoi faire. Je ...
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