1. Souvenirs d'un branleur


    Datte: 01/12/2018, Catégories: h, fh, couple, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, photofilm, Masturbation Oral fsodo,

    Je n’étais pas bien vieux lorsqu’il m’arriva une aventure assez incroyable, que je n’ai jamais confiée à personne, mais dont je me souviens encore parfaitement. Je dus partir faire deux années d’étude dans une grande ville de province assez éloignée de chez moi. La première année en collocation s’était mal passée et un couple d’amis de mes parents qui habitait cette ville, et qui n’avait pas d’enfant, accepta de m’héberger pour l’année suivante. Paul et Sylvie, puisque c’est ainsi qu’ils s’appelaient, formaient un couple paisible, attachant et sympathique, même s’ils m’intimidaient. Enfin, c’est surtout Sylvie qui m’intimidait. Brune aux lèvres très pulpeuses, assez séduisante et légèrement potelée, elle dégageait une sensualité presque animale qui produisait d’indéniables effets sur le petit branleur que j’étais à l’époque. Je parle ici bien sûr au sens propre. Enfin, propre, c’est vite dit. La chambre qu’ils occupaient se trouvait à l’autre bout de la maison et, si je n’ai jamais surpris aucun de leurs ébats intimes, c’est en y fouinant sans vergogne que je suis tombé un beau jour sur un objet qui m’a fasciné durant de longues heures de solitude. Je fantasmais terriblement sur Sylvie. À table, j’adorais la voir déguster un yaourt nature bien crémeux en fin de repas. En essayant de rester discret, je surveillais sa façon de faire entrer la cuillère dans sa bouche et, si elle laissait traîner un peu de crème blanche à la commissure de ses lèvres, voir sa langue venir ...
    ... nettoyer tout ça d’un petit coup lent, délicat, soyeux et humide était un pur plaisir. À sa façon, elle était très classe, Sylvie. Langoureuse pour tout dire. C’était typiquement le genre d’image qui me faisait gonfler la bite le soir dans mon lit lors de mes séances de masturbation quotidiennes. Un matin, j’ai même croisé Sylvie dans la cuisine alors qu’elle n’était vêtue que d’un t-shirt et d’une petite culotte. Le t-shirt était copieusement garni et la culotte… mon dieu, la culotte… comme je m’en souviens encore de sa culotte. J’ai dû bredouiller un bonjour confus tant l’émotion fut grande. J’avais bien évidemment été incapable de détourner le regard du haut de ses cuisses dodues et je revois encore le renflement de son sexe dans le tissu. Juste après qu’elle fût passée devant moi pour se diriger vers la salle de bain, je revois aussi le balancier moelleux de sa superbe croupe, dans laquelle j’avais eu une très grosse envie de plonger la tête la première. Ça aussi, croyez-moi, avait provoqué d’intenses séances de tripotage en tous genres. La salle de bain, justement. C’était là, dans le panier à linge sale, que Sylvie déposait ses petites culottes. Je chavirais totalement lorsque, par chance, j’en trouvais une un peu sale et encore humectée, que je pouvais renifler, lécher, et dans laquelle je pouvais me branler un instant, en faisant toujours attention à ne pas me finir dedans. Il fallait tout de même rester correct. Et discret. Bref, Sylvie me faisait sérieusement perdre la ...
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