1. Ecole du sexe (10)


    Datte: 01/12/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    -Je croyais que tu ne pouvais pas pardonner à ton frère de t’avoir abandonnée, dit Fabian sur un ton de reproche. -Je le pensais, mais je me trompais, répondit Mylène aussi sec. -C’est comme ça que tu me remercies, lui reprocha aussitôt le jeune homme. Je te tends les bras, je fais de toi mon amie et toi, tu me poignardes dans le dos. -Je ne t’ai pas poignardé, nous sommes toujours partenaires. D’ailleurs, je te rappelle que nous ne sortons pas ensemble, alors je peux tout à fait coucher avec qui je veux, que tu le veuilles ou non. Le regard que Fabian lança à ma sœur ne dit rien qui valût à Alice. Lorsque le jeune homme, contrarié, s’approcha, poings fermés, de Mylène, je me plaçai devant lui et lui barrai le passage. -Qu’est-ce que tu comptes faire ? Sans paraître vraiment agacé, Fabian me bouscula violemment avec son épaule Je m’effondrais de douleur sur le sol. Incapable de me regarder souffrir sous ses yeux, Alice se jeta à mes côtés et me chuchota quelques mots à l’oreille. -C’est ça, reste avec ta pute pendant que je m’occupe de ta sœur, crevard ! articula le jeune homme. Mylène, finalement effrayée, eut un mouvement de recul, mais cela ne suffit pas à la séparer de Fabian qui, avec une force étonnante, lui attrapa le poignet et la plaque au sol. Il s’agenouilla et plaça sa main à l’arrière de la nuque de sa victime, la bloquant contre la surface dure de la pièce. -J’espère au moins que ton frère t’a bien baisée, parce qu’il ne risque pas de recommencer ! cria presque ...
    ... Fabian. -Il me baise mieux que toi et ça me convient, réussit-elle à dire. J’ignorai ce que Fabian comptait faire, mais il n’en eut pas le temps : le sonnerie indiquant la fin de notre heure libre retentit à travers la pièce. -Je n’en ai pas fini avec toi, lui souffla-t-il avant de quitter la pièce. Lorsque la sonnerie retentit, nous nous se dirigeâmes vers notre salle de cours. Difficile pour nos camarades de deviner que, quelques minutes auparavant, Fabian nous frappait dans les douches : nos corps n’étaient pas marqués. Dans un silence de plomb précédé d’un regard supplicateur envers moi, Mylène rejoignit Fabian, son partenaire. Le regard de ce dernier, quant à lui, trahissait le plaisir de pouvoir profiter de la jeune femme et, au besoin, lui faire payer son insolence. Le professeur, monsieur Barthoum, fit entrer les étudiants. Alice et moi-même nous tînmes la main en entrant et nous installâmes à nos place habituelle, c’est-à-dire au fond de la classe. Lorsque nous nous assîmes, monsieur Barthoum ôta son pantalon de toile marron et laissa apparaître son membre. Dépassant largement la vingtaine de centimètres, son pénis fit fantasmer un bon nombre de filles dans la salle. Je dus même secouer légèrement Alice afin qu’elle revînt à la réalité. -Désolée, me dit-elle doucement, mais avec une queue pareille, je ne suis pas la seule à avoir quelques idées, si tu vois ce que je veux dire. -Je vois parfaitement, le genre de choses que toi et moi faisons quand nous sommes seuls, ...
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